Tous au
grand Congrès provincial de l’A.C.F.A. les 17 et 18 avril
Bilinguisme horaire
Qttawa. — À Ja fin du mois d'avril
l'Observatoire du Canada donnera Fheu-
re précise, à toutes les minutes, on
anglais et aussi on français.
L'Observatoire diffuse continuelle-
ment un signal moraire (un “beep” par
seconde), et à chaque minute un an-
ponceur donne l'heure exacte. Cette in-
formation n'est donnée qu’en anglais.
Après 44 ans d'existence la direction
de cet organisme a décidé de donner le
renscigmement en français.
La voix anglaise sera celle de M.
Harry Manus, la française, celle de M,
Miville Couture,
Le signal est diffusé sur trois lon-
cueurs d'ondes: 3330, 7335 ct 14670
hilocyeles.
Les équipes de hockey
en vedette au Collège Saint-Jean
I nous fut déjà rapporté que Île
Collège St-Jean avait nn excellent dos-
sier académique mais qu'il ne valair
rien au point de vue sportif, Le Collège
Saint-Jean à toujours eu des équipes
de hockey: et lorsque l'on rencontre
les anciens et qu'il nous disent qu'ils
faisaient partie de telle ou telle équipe
de hockey au Collège Saint-Jean, ils
eu semblent fiors.
Depuis 1962.63. le Collège Saint-
Jean à quatre équipes organisées qui
jouent avec les Cquipes de la ville:
Bantams, Midgets, Juveniles “A” ot Ju-
nior “B". L'an dernier, deux d’entre
cles remportérent Je championnat de
Les “Bantams”
Es haut de gauche à droite:
Frère Omer Lafrance (entraineur), D, Bauman, M. Moveu, R. Noël
k. Bisson, M. Soulodre, C. Lafranee, A. Dantzer. M. Boyle, A.
Plante, Père Hudon, o.m.i.
Ex bas de gauche à droite:
;
R. Duchesnean (aide), D. Poulin, A. Laramé, 1. Lord, P. Noël,
h. Jubinville, À. Hurtubise (aide).
Les “Midgets”
En haut de gauche à droite:
Adrien Bouchard (entraîneur), D). Richard, A. Tardif, F. Brassard,
B. Broneau, 14 Poulin, F. Albas, R. Généroux., R. Marchand, R.
Chevalier, Rév. Père Hudon, om.i.
Ex bas de gauche à droite:
R. Monfette (aide), R. Thérien. C.
5, Joly, (manque sur la photo — I: Bélanger).
Joly, D. Leroux, A. Joly,
Les Juvéniles ‘A’
En haut, de gauche à droite:
Rév. Père Hudon, o.mi., E. Bourque, 1. Kleine, À. Beaulac, P.
Drapeau, D. Neider, P. Demers, E. Joureault, M. Behiels, Paul
Denis (entraîneur).
Ex bas de gauche à droite:
G, Laine, M. Normand, $. Roy
, À. Noël, G. Calvez,
R. Benoit,
9. Tardif. (Manque sur la photo, W. Behicls)
Les junior “B”
En haut de gauche à droite:
Rév. Père Paul-Antoine Hudon,
Potvin, P. Denis, M. Albas.
En bas de gauche à droite:
H. Tardif, A. Bouchard, R. Durette, A. Roy, M. Credgeux
o.m.i., D. Albas, R.
Chauvet, M.
(manquent sur la photo: A. Calvez, Li. Cadrin, G. Arès).
leur ligue. Cette annéc (1963-64) les
quatre équipes sont sorties victoricuses
dans leur ligue respective ct trois d’en-
tre elles se méritaient le championnat
de Ja ville,
Voilà qui prouve qne si les élèves
au Collège “Stand out” (selon le mot
d'un représentant officiel du départe-
ment de l'éducation de l'Université de
VAlberta) une fois rendus à J'Univer-
sité, le point de vue sportif et physique
n'est pas moins négligé durant Jeur
vie de collège,
Voyons maintenant comment se sont
déroulés les évènements dans chacune
de ces équipes de hockey an cours de
là saison de hockey. Chez les plus
agés d'abord c’est-à-dire l’équipe des
“Junior B°, elle n'a pas connu de dé-
faites pendant toutes les parties de Ii-
gue cet hiver. Etant parvenue à la sé-
ric finale (deux dans trois) pour la cou-
pe contre le Collège St-Antoine d'Ed-
monton, les nôtres déclanchèrent deux
victoires consécutives et revinrent au
Collège le 8 mars avec la première cou-
pe de hockey, C'est cet exemple que
leurs confrères cadets s'empressèrent
d'imiter, i
En effet deux jours plus tard, le 10
mars, au “Seuth Edmonton Sports
Center” nos “Juvéniles A7 $emparent
du “Hadson’s Bay Company Trophy”
alloué annuellement aux champions de
la ville d'Edmonton. Nos joueurs dans
cette série finale du meilleur dans
trois s’inclinaient à la première partie
devant l'équipe de Bellevuc par un
pointage 5 à 3. La deuxième partie se
terminait avec un pointage de 5 à 5: ce
qui changea l'issue de la série du meil-
leur de trois parties à une série du to-
tal des points comptés en trois parties
Nos collégiens commencèrent donc la
troisième partie avec un handicap de
(suite 4 la page 8)
En bref
L'A.C.F.A. à noté
DOUr VOUS
D'après Jes échos que nous en avons,
la période de réorganisation de la li-
brairie bilingue à Edmonton, sous le
nom de Librairie Schola Bookstore Ltd
bat son plein actuellement. Les mem-
bres de l'Exécutif ont déjà tenu qua-
tre assemblées hebdomadaires et Jundi
soir dernier, ils rendaient compte de
leur administration aux membres du
conseil d'administration de la nouvelle
compagnie, Les rapports de Schola a-
vec les libraires-grossistes, tant anglais
que français, sant excellents et tous
ont promis Jeur plus entière collabora-
tion. — Le service aux clients s'amé-
liore continuellement et Je montant des
ventes ne cesse d'augmenter. — En un
mot, la situation semble très encon-
rageante.
æ # #4
membres de l'Exécutif de
FACFA se sont réunis de nouveau, hier
midi, pour voir aux détails de l’organi-
sation du prochain Congrès provincial.
Des renseignements plus précis scront
publiés très prochainement.
+ La #
Les
Au cours de la semaine dernière, no-
tre propagandiste, M. Eugène Trottier,
a poursuivi son travail, aidé de quel-
ques personnes dévouées de St-Paul.
Vingt-et-un nouveaux membres ont si-
#né leur adhésion et sont maintenant
protégés par le Service de Sécurité fa-
miliale de PACFA.
+ # 3
Nous présentons nos sincères condo-
Jéances à la famille Omer Pelletier, de
Legal, qui a perdu leur enfant, Dolorès,
âgée de 10 mois.
+ + +
L'ACFA désire souhaiter un heureux
anniversaire aux membres de la Sécuri-
té familiale dont les noms suivent:
MI. A.-Louis Chalifoux, Morinville
M. Georges Guindon, Girouxville
M. Emile Laliberté, Jean-Côté
M. Pierre Lapointe, Donnelly
M. Jacques Loiselle, Ste-Foy, P.Q.
M. Rolland Villeneuve, Beaumont
M. Elie Beaunoyer, Bonnyville
M. Georges Lanctôt, Girouxville
M. Sylvain Lefebvre, St-Paul
RP. Léon Ouellet, omi., Edmonton
M. Armand Gagné, Guy
Sr M.-Oliva-de-Jésus, fd.j., Beaumont
M. Maxime ©. Belair, Fort-Sask.
M. Lucien Boucher, Edmonton
Mlle Mariette E. Hogue, Morinville
M. Abel Ouellette, Tangente
Sr Henri-Maria, f.d.j., Pincher Creek
M. l'abbé Laurent Bussière, St-Brides
M. Thomas Campbell, Provost
R.P. J.P. Cloutier, om.i., St-Albert
R.P. Joseph Forget, o.mi., Eaglesham
M. Léon Adélard Richer, Edmonton
Sr M.-Emilia-du-S.-C., f.d.j., Pincher C.
Mme Céona Villeneuve, Edmonton
M. Charles Vincent, Bonnyville
M. Alfred Canucl, McLennan
M. Lucien Chaput, Tangente
M. Léo Jubinville, St-Paul
M. Normand J. Létourneau, Legal
M. Gérard Plouffe, St-Paul
M.M. l'abbé Henri Boisvert, Mallaig
M. Marcel Garant, Donnell.
sl
&
Organe officiel des Associations françaises de l'Alberta et de la Colombie
(A.C.F.A. — F.C.F.C.)
VOLUME XXXVI
La semaine
Dans le monde
Nicosie. — En dépit de Ja présence
des troupes des Nationsunies à Chy-
pre, le calme demeure précaire dans
l'île Méditerranéenne où de nouveaux
incidents sont survenus presque toute
la semaine. La situation fut compli-
quée par le fait que le secrétaire général
de FONU n'avait pas réussi à désigner
un médiateur admis pur tous les inté-
ressés, el que les directives de Ja force
de police étaient trop vagues pour per-
mettre une intervention
les conditions actuelles.
La Grande-Bretagne. Ta Turquie et
li Grèce, les trois pars qui avaient ga-
ranti l'indépendance de Chvpre, ainsi
que le gouvernement evpriote, acecp-
tent le diplomate finlandais, M. Sakari
Tuomioja, comme méditteur de Ja dis-
pute entre les deux communautés grec-
que el turque. Pendant ce temps, le
secrétaire d'Etat aux Affaires extéricu-
res, M. Paul Martin, à des entretiens
avec M. Thant à New York et ensuite
à Genève. Les deux hommes assistent
à la conférence des Nations-unies sur
le commerce et le développement, a-
fin de mettre au point les directives de
la force internationale de paix, formée
présentement de notre contingent ca-
nadien de onze cents hommes ct de
trois mille soldats britanniques. M.
Martin laisse savoir que les instruc-
tions précises données aux troupes ca-
nadiennes à Chypre demeureront pri-
vées, comme ce fut Ju cas au Congo.
L’Irlande annonce qu'elle aura 600
hommes dans l’île vers Je 11 avril et
d'autres troupes sont attendues de la
Suède et de la Finlande.
;
armée dans
Mexico. — Le Mexique et la France
se rapprochent durant le voyage triom-
phal du président de Gaulle et le com-
muniqué publié en conclusion des en-
tretiens de Gaulle-Lopez Matcos vont
plus Join que l’on s'y attendait, I ré-
(suite à la page 5)
EDMONTON, ALBERTA
Decès de Mer
Emile Tessier, p.d.
Ancien curé
de Morinville
Jcudi dernier 19 mars, dans la retrai-
te qu'il s'était choisie à l'hôpital St-
Joseph. d'Edmonton, S'éteignait paisi-
blement Mgr Emile Tessier, pd. à
l'âge de 82 ans. Avec Jui disparaît
lune des figures les plus pittoresques
du clergé franco-ulbertain.
Né le 7 avril IS82 ct éduqué dans
la vicille paroisse St-Pierre, de Mont-
réal, Mgr Tessier a fait ses études clas-
siques au Collère Ste-Maric des Pè-
res Jésuites. Après de brillantes études.
il accompagnait sa famille à Edmon-
ton au printemps de 1900. C'est dire
qu'il fut un de nos pionniers, Il occupa
divers postes à Edmonton, au bureau
des Terres entre autres, s’occupa d'im-
meuble et devint en 1912 le premier
secrétaire-trésoricr de la Comrnission
des Ecoles séparées d'Edmonton, Ac-
(suite à la page 8)
Sans trop le dire Washington craint
les conséquences de la visite de
de Gaulle au Mexique
Washington. — De hauts fonction-
naires américains écartent Ja possibili-
té que la visite du président Charles
de Gaulle au Mexique poscra un pro-
blème sérieux à la position des Etats-
Unis en Amérique latine.
Mais sous l'apparence calme de Ja
dignité, on redoute quelque peu que
de Gaulle ne soit mêlé à une nouvelle
vague d’anti-américanisme ou peut-
être même que par inadvertance il
n'apporte un stimulant à un tel senti-
ment.
Le chef français ct le président John-
son sont d’une certaine manière entrés
dans des campagnes rivales pour se
gagner le prestige et une influence ef-
ficace dans les affaires sud-américai-
nes,
Dans un discours qu’il adressait de-
vant J'Organisation des Etats améri-
cains, M. Johnson a exposé les moyens
auxquels il a songé pour insufler une
nouvelle vigueur à PAlliance pour le
progrès, dans laquelle les Etats-Unis
ont englouti plusieurs billions de dol-
Jars.
Au même moment, le gouvernement
travaillait à renforcer l'autorité de Pas-
sistant secrétaire d'Etat, M. Thomas
Mann, qu'il a choisi soigneusement
pour diriger toutes les relations. entre
les Etats-Unis et l'Amérique latine. U-
ne conférence spéciale a réuni des hauts
fonctionnaires de Washington, dont le
Bourses aux jeunes
français
Les ressortissants français imma-
triculés au Consulat de France à
Edmonton désireux de bénéficier
d'une bourse scolaire (année 1964-
65) pour leurs enfants sont priés de
se présenter en personne aux bu-
reaux du Consulat de France, 10038-
110e rue, à Edmonton, munis de:
—leur carte d’immatriculation,
un certificat d'inscription dans un
établissement d’enseignement de
langue française,
—un devis des frais de scolarité.
—et, du duplicata de la déclaration
—de revenus (T4 abrégé).
Les dossiers devront être complé-
tés et remis avant le 9 avril 1964,
président, les ambassadeurs américains
et les directeurs des programmes d’ai-
de des pays de l'Amérique centrale.
ACCUEIL TRIOMPHAL:
Alors que le président Johnson pre-
nait ces mesures, de Gaulle était ac-
cueilli à Mexico par une foule enthou-
siaste de 300,000 personnes, réunies
autour du palais national. Le prési-
dent français s'est joint au président
Adolfo Lopez Matcos pour souhaiter
une nouvelle alliance entre le Mexique
et la France, une alliance qui, selon les
deux hommes, ne cuuserait de tort à
qui que ce soit.
On peut établir un contraste violent
{suite à la page 5)
MERCREDI LE
5)
=)
MARS 1964
No 19
Tous les députés federaux applaudissent
a la destitution de Hal C. Banks
Ottawa. — La nouvelle de Ja desti-
tution de Hal C. Banks comme prési-
dent du Syndicat international
Marins du Canada a été accueillie par
des applandissements à Ta Chambre des
des
communes,
Le ministre du Travail, M. Mefa-
chen, annonça que les trois curateurs
nommés par Je gouvernement avaient
décidé de démettre le chef syndical de
55 ans apres ne longue éfnde des
affaires et des intérêts du SIM et de
Tindustrie maritime.
H a déclaré que les curatenrs avant
juridiction depuis octobre sur le SIM et
quatre antres syndicats de marins. au
vaient décidé qu'il n’était pas de J'in-
térêt du SIM, de lindustrie maritime
et du public en général que Banks
demeure en fonction.
“Bravo!” s'écricrent les députés qui
firent battre Jus couvercles de
pupitres en signe d'approbation.
M. Charles Turner, ancien directeur
de la Fraternité des commis de che-
mins de fer, a été nommé président
suppléant du Syndicat international des
Marins, dit-il. A. Turner fait partie
du personnel curatenr depuis environ
deux mois.
UN PENTHOUSE:
M. Charles H, Millard, un des trois
curateurs ct ancien président du Syn-
leurs
dicat des employés d’acicries du Cana-
da, s'est installé dans les bureaux du
Le Dr G. René Boileau, chirurgien
avantageusement connu, d'Edmonton,
est de retour de Winnipeg où il a été
élu membre du Canadian Association of
Clinical Surgeons, division de l'Ouest.
— Cette société est composée exclusi-
vement des chefs de la chirurgie cana-
diennes et apporte une très grande con-
tribution à l'avancement de lensei-
gnement médical au Canada, — Chi-
rurgien à l'hôpital Général, le Dr Boi-
Icau est membre du département de la
chirurgie à l'Université de PAlberta;
il est également Fellow des Collèges
canadiens ct américains en chirurgie.
SIM à titre d'administrateur.
En cette qualité, M. Turner occupe-
ra Je bureau Juxueux de Banks installé
dans un penthout: dans lequel le pré-
sident trônait sur une tribune de sorte
que tous les visiteurs devaient jeter les
veux sur Jui.
du ‘Fravail conserva-
teur. M. Michael Starr. voit plus de
vérité que de fiction dans là nouvelle
que da destitution de Banks a été ap-
pronvée d'accord avec le SIM. Je gou-
veruenient pgouverne-
L'ex-ministre
américain et Je
ment canadien,
“fe suis porté à croire que Je minis.
tre ne divulgue pas tous les faits con-
cernant la situation et que le gouver-
nement d'Ottawa doit avoir joué un
certain rôle dans la décision, fit M.
Starr, qui dédlencha Yenquête du
temps qu'il était ministre du Travail.
Ï rappela qu'un grand nombre de
gens étaient mécontents du fait que les
curateurs n'avaient point démis Banks
comme J'avait recommandé le rapport
du juge T. G. Norris.
AUTRES MESURES:
M. David Olikow, député néodémo-
crate de Winnipeg-Nord. est enchanté
d'apprendre Ja nouvelle.
“C'était certainement le premier pas
à faire et il aurait fallu le faire il y a
longtemps.”
J1 propose la tenue d'une réunion
prochaine du comité des relations in-
dustriciles des Communes afin que les
curateurs communiquer aux
députés les autres mesures qu'ils se
d'appliquer pour rétablir
l'ordre sur les Grands Lacs.
puissent
proposent
M. Marcel Lessard, dépaté créditis-
te de Lac-St-Jean, ct M. Réal Caouette,
chef du Ralliement des créditistes, ap-
puient tous deux Ja décision mais se
demandent si lon à agi sagement en
désignant un étranger comme président
provisoire du SIM.
Lorsqu'on à annoncé par haut-par-
leurs la mise à pied de Hal Banks, en-
50
Royale et de la police de Montréal en-
viron agents de Ja Gendarmerie
touraient l'édifice du SIM dans le cen-
tre de la métropole. Des membres du
syndicat ont posé des objections en
faveur de Banks même après que M.
Léonard McLaughlin, vice-président
du SIM, leur eut ordonné de “se tenir
tranquilles”.
Les commissaires de tutelle ont an-
noncé qu'ils allaient désormais occuper
l'édifice du SIM.
Il a été impossible de communiquer
avec Hal Banks pour obtenir de lui
des commentaires sur la décision du
conseil de tutelle.
Le critique financier du parti conservateur, George Nowlan, à droite, présente certaines observations
sur le bide. alors que le ministre des finances, l'honorable Walter L. Gordon, revient de la Chambre
des Communes où il a présenté son budget de 1964-65.
Ne manquez pas la Cabane à sucre, samedi, 18 avril prochain
Page 2
© LA SURVIVANCE
Mercredi le 25 mars 1964
Le Casse-tête chinois
par yves duval
(suite de la semaine dernière)
La cage de lascenseur glissa dans
un ronronnement très doux et débarqua
notre ami dans un vaste corridor blanc
et silencicux. Ses murs luisants com-
me des miroirs paraissaient imprégnés
d'une tenace odeur d’iodoforme. Bus-
ter le parcourut à pas feutrés, en dé-
chiffrant les plaques d’émail vissées
sur chaque porte.
—Vous cherchez? questionna un in-
firmier qui passait, coiffé d’un calot
blanc de mitron.
—Le professeur Rossetti?
—Le professeur ne reçoit qu'à sa
consultation, trois jours par semaine.
Avez-vous un rendez-vous?
—Non, mais c'est très important, Je
dois lui parler au plus vite. Il s'agit
d'une question urgente et personnel.
le.
Le garçon de salle eut un petit haus-
sement d'épaules.
—Tous les mêmes! Pour l'instant
. le professèur opère dans la grande sal-
Je. Mettez-vous là, sur le banc. Quand
aura fini, il doit nécessairement pas-
ser ici devant vous. Peut-être pourrez-
vous en profiter pour Jui dire un mot.
Buster remercia et s'installa sur Ja
banquette, face à la porte que l’autre
venait de lui indiquer.
—Pourvu qu'il ne me fasse pas trop
languir, ce toubib! À tout moment, je
risque de voir surgir les gredins aux-
quels mon brave Chinois m'a permis de
fausser compagnie...
Buster tressaillit lorsque la porte s’ou-
vrit en face de lui. Ce n’était hélas!
qu'une infirmière, Quelques minutes
plus tard, elle s'ouvrait à nouveau, à
deux battants cette fois. C'était pour
Bivrer passage au chariot de la patien-
te, que poussait un garçon de salle.
Buster aperçut les traits pâles et le
nez pincé d'un visage de jeune fille
encore sous l'effet de la narcose.
—Est-ce que décidément j'aurais
Ja chance pour moi ? soupira Buster.
Je crois que oui...
Trois hommes en blanc sortaient
maintenant de la salle, encore gantés
de caoutchouc et le bas du visage ca-
‘ché par le petit masque de toile.
Professeur Rossctti? interrogen
Webb en se levant et en faisant un pas
vers eux,
—<C'est moi, fit le plus âgé en se
démasquant la bouche.
—Je désirerais vous dire un mot,
professeur. C’est de la part de votre
client John Forester.
—De la part de Forester? Bon, je
vois. Si vous voulez me suivre, nous
gagnerons du temps.
Tandis que le chirurgien se débar-
rassait au vestiaire de ses vêtements de
travail, qu'il jetait au fur et à mesure
dans un bac métallique à pédales,
Buster lui glissa à voix basse à l'oreil-
le:
--Igor salut bien Bouddha.
—Pourquoi John Forester n'est-il
pas venu lui-même reprendre la sta-
tuette qu'il m’a remise? demanda le
médecin.
—Parce que, docteur, le pauvre ty-
pe à probablement été supprimé.
——Supprimé? Vous voulez dire que
Forester aurait été tué?
—Tué, ou au moins enlevé par des
gens que ce Bouddha semble intéres-
ser prodigieusement...
—Diable! fit le professeur. C’est donc
cela que le bonhomme m'avait paru
si inquiet, lorsqu'un peu avant minuit
il m'a remis une petite boîte contenant
la statuette en question!
—Et vous a-til expliqué quelque
chose à ce sujet, professeur?
—Son coup de sonnette m'a tiré du
lit. Je venais de m’endormir. Forester
était un vieux client, un antiquaire que
je soignais depuis une dizaine d’années.
I s'est excusé du dérangement, en me
remettant J'objet, avec prière d'en a-
voir soin et de le remettre à celui qui
viendrait le retirer de sa part...
—.…en vous disant la phrase: Igor
salue bien Bouddha?
—C'est cela même! Voulez-vous me
suivre dans mon appartement privé?
Vous -comprendrez que je n’ai aucune
envie de conserver plus longtemps ce
dépôt si dangeureusement convoité,
C'est à travers un dédale de corri-
dors, nets et étonnamment pareils en-
tre eux, que Webb suivit le médecin,
avec une joie non dissimulée.
—Ouff se disait-il en lui-même. Cet-
‘te fois je touche au bout. J'ai retrouvé
le bon bout du fil.
Tout en avançant dans les couloirs,
le_professeur était sans cesse arrêté par
des infirmières qui lui demandaient
un renseignement de service, ou salué
par un malade auquel il prodiguait,
en passant, un petit mot d’encoura-
gement. C'était assurément un person-
näge important que ce toubib.
LA SURVIVANCE
—Nous n'aurons pas à quitter le
bâtiment précisa Rossetti en se tour-
nant vers Buster, 11 y a des années que
j'habite ici même. Je dispose de six
grandes pièces au bout de l'aile gau-
che de l'hôpital, avec une entrée direc-
te sur lavenue. C'est fort pratique
pour un célibataire casanier comme
moi. l'y suis parfaitement à l'aise, tout
en demeurant à deux pas de mon labo-
ratoire ct de mes opérés.
Par les vastes baies vitrées du corri-
der, Buster pouvait apercevoir en con-
tebas le jardin arrière de l’établisse-
ment. De nombreux convalescents, é-
tendus en peignoirs sur des chaises
longues, s'y reposaient au soleil. Ce
spectacle rappelait à l’ancien sergent
les longues heures d’immobilité forcée
qu'il avait lui-même connues jadis à
Fusan, dans les locaux de ja Croix-
Rouge américaine, après sa blessure
en Coréc.
Cette période avait constitué pour
Webb, le plus pénible souvenir de sa
campagne, lorsqu'il avait craint qu’on
ne dut lui couper la jambe où l'infec-
tion s'était mise. A force de soins, l'in-
flammation avait un beau matin tota-
lement disparu. Son membre blessé
avait retrouvé une parfaite mobilité.
C’est à peine s'il en avait conservé à
la cuisse une légère cicatrice,
—Nous voici arrivés, fit le profes-
seur, en poussant une porte de chêne
cachée par une tenture, Entrez, je vous
pric.
Quelques instants plus tard, le doc-
teur Rossetti remettait à Buster une
petite boîte en carton dissimulée der-
rière un rayon de livres de sa biblio-
thèque.
Tiens! s'étonna-t-il,
avoir reficelé ce paquet...
L'important est que Ja statuette
soit remise à son acheteur, fit Buster,
en sortant le Bouddha de sa boîte ct
en le glissant sous son blouson de
daim.
j'aurais juré
—]Je vous avoue ne rien compren-
dre à toute cette histoire, reprit le pro-
fesseur. L'objet est peut-être bien au-
thentiquement hindou, mais il me pa-
raît sans grande valeur. J'en ai souvent
vu de pareils en vente publique.
—Grand merci, docteur! conclut Bus-
ter en lui serrant la main. Je n’y com-
prends moi-même pas plus que vous.
J'ai simplement pour mission de ra-
mener objet au sieur Igor Dobronine,
qui en est le propriétaire et semble y
tenir beaucoup.
En sortant de l'appartement du mé-
decin, Buster se trouva devant un es-
calier. Avant de s'y engager, il jeta
par la fenêtre un coup d'oeil dans la
rue,
—Tonnerre! grogna-t-il. Je ne me
trompe pas. Là, le long du trottoir,
c'est bien la bagnole verte qui m’a en-
levé ce matin! Pas de doute que mes
canaïilles guettent ma sortie devant
l'hôpital. Comment échapper de cet-
te souricièreP
(à suivre)
Mes fautes ..
vos fautes .
leurs fautes
Shift de nuit —
équipe de nuit
Shift-work —
travail par équipes
Stock-room keeper —
magasinier
Time-clock —
horloge de pointage, horloge enre-
gistreuse
Time-keeper —
pointeur; chronométreur; contrôleur
(de présence)
Avoir un jour off —
avoir un jour de congé
Être en devoir —
être de service
Être off —
être de congé, de repos
Etre on —
être de service
Puncher en entrant —
pointer en entrant
Extrait du Petit dictionnaire du
“Joual” au Français, par Augustin
Turenne. — En vente aux Editions
de l'Homme, 1190 est, rue Lagau-
chetière, Montréal, P.Q.
Hebdomadaire publié tous les mercredis à
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Tél: Direction: GA 2-0388; Imprimerie: GA 92-4702
Journal indépendant en politique et
enbèrement consacré à la cause religieuse et nationale.
Directeur: R.P. Jean Patoine, o.mi.
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PRIX DE L’ABONNEMENT
$3.50 par.an ou 82.00 nour 6 mois:
Etats-Unis et Europe: $4.50 par ‘an.
Conte de Pâques
Le Jacquemart
par Geneviève Duhamelet
Quand Josse vit se profiler à l’ho-
rizon le clocher de son village, il crut
que son coeur éclatait de joie. Cinq ans
prisonnier, cinq ans loin de tout ce
qu’il aimait et puis, enfin, par un matin
ensoleillé de juin, ce retour au pays.
Du plus loin qu'il laperçut, il lui
sembla que le clocher lui faisait des
signes:
— Bonjour, Josse, bonjour, mon ca:
rillonneur! Nous allons retrouver nos
musiques d'autrefois.
Une grande inquiétude, cependant,
ctreignait le prisonnier. Si, pendant
la guerre, l'ennemi avait enlevé les
cloches? Heureusement, les treize clo-
ches du carillon n'avaient pas bougé.
Un obus avait bien écorné le clocher,
mais la seule victime avait été Colinet,
le jacquemart. Car, tout en haut du
clocher, depuis trois ou quatre siècles,
Colinet ct Colinette frappaient en ca-
dence sur une des cloches pour dire le
quart, la demie, les trois-quarts et l’heu-
re qu'il était, Colinette en robe rouge,
Colinet en habit bleu... A présent, Co-
linette était veuve ct frappait seule
une heure boiteuse. Il était bien ques-
tion, de temps en temps, au conseil
municipal, de remplacer Colinet. Mais,
en ces temps de misère, les besoins
matériels étaient si pressants que Coli-
nette devrait attendre encore un peu
qu'on lui rendit un époux.
Josse retrouva donc son clavier et
ses pédales. Pendant sa longue absence
on n'avait guère en l'occasion de caril-
Jonner, Le jeune Benoït, cependant,
aux rares jours de fête, avait essayé de
remplacer l’absent.
— Mais, disaient les gens du pays,
ce n'était pas la même chose; Benoît
n'avait ni ta vigueur, ni ton doigté,
mon gars.
Retrouver son métier, c'est déjà bien
mais Josse avait encore la chance de
retrouver ses amours, Celle qu'il ai-
mait avait nom Catherine ct elle était
dentellière. Orpheline, elle vivait avec
sa petite soeur Rose ct leur vieille
grand-mère dans un logis étroit qui
touchait à l’église,
Quand il était. parti pour la’ guerre,
Josse n'avait pas osé dire à Catherine
qu’il l’aimait. Mais, depuis son retour,
quand il venait trois fois par jour
pour sonner l’Angélus, il s’arrêtait
volontiers auprès de la fenêtre où s'en-
cadrait le profil de lactive dentellière
et les fuseaux voltigeaient au rythme
des paroles. Josse n'avait pas eu besoin
de formuler une longue déclaration.
Catherine avait compris tout de suite
ce qu'il voulait dire et la petite Rose
— elle avait seize ans ou dix-sept au
plus —— battit des mains:
— Que je suis contente d'aller bien-
tôt à Ja noce!
Sur quoi sa grande soeur la fit taire
un peu vivement,
Benoît venait aussi roder sous la
fenêtre. Josse et lui étaients liés de
bonne amitié. Ils montaient ensemble
au clocher et l'ainée montrait au ca-
det comment on faisait chanter le caril-
lon et Colinette, solitaire, frappait à
contre-temps la cloche de l’horloge.
L'été, l'automne, l'hiver passèrent.
La noce fut fixée au mardi de Quasi-
modo. Déjà, la tailleuse du village con-
fectionnait la robe de mariée et, pour
Rose, une toilette assortie à son nom
de fleur.
Le Carême s'achevait. Encore quel-
ques jours et l’heureux Josse touchait
au termes de ses voeux, Il aurait dû
cxulter de joie, et cependant, il mon-
trait depuis quelques jours un visage
renfrogné, C’est que Josse était jaloux.
Catherine, cependant, était la fille
Ja plus sage du pays et jamais un gar-
çon ne hantait sa demeure, sauf toute-
fois le jeune Benoît. Et si Josse se
rongeait ainsi, sans oser le dire à Cathe-
rine, sans se l'avouer à lui-même, c'est
qu'il lui semblait, qu'entre sa fiancée
et son ami, il y avait comme une se-
crète entente. À plusieurs reprises, il
avait surpris un colloque animé qui
s'interrompait à son arrivée, Dans la
conversation, un mot faisait se cher-
cher leurs regards, ils échangaïent
parfois des sourires furtifs. Bref, plus
il observait plus Josse se persuadait
que Catherine et Benoît avaient un
secret,
Vous me direz qu'il n'avait qu’à Îles
interroger. Mais je vous ai fait remar-
quer que Josse était jaloux, Or, si le
jaloux $e nourrit de soupçons, il à peur
de les éclaircir. Et Josse se sentait
très malheureux, |
H y avait surtout, dans le passé,
cette longue captivité pendant la-
quelle il ne recevait que de rares et
banales nouvelles. Quand il était parti,
Catherine avait dix-huit ans, Benoît
était du mème âge et n'avait pas quit-
té le pays. Que s’'était-il passé entre
eux pendant cette longue absence?
Un jour, Josse avait essayé d’interro-
ger la petite Rose qui lui avait ri au
|
La Bible vous parle
Ne vous inquiétez pas pour votre vie
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d’'Alberta et de Colombie.
ut postal de la deuxième classe,
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MERCREDI LE 25 MARS 1964
Autorisé comme envoie
de ce que vous mangerez, ni pour votre
corps de quoi vous le vêtirez.
n'est-elle pas plus que la nourriture et le
corps plus que le vêtement? (Mt. 6,25).
La vice
(Texte choisi par la Société catholique
de la Bible).
nez tout simplement, Si bien qu'il n’en
tait pas plus avancé, au contraire,
car enfin, si Ja gamine riait de ses
angoisses, c’est qu’elle avait, elle aussi
à dissimuler quelque chose.
Le Samedi-Saint, n'y tenant plus,
Josse décida de questionner Catherine.
Il redescendaït du clocher où il avait
accordé le carillon pour le lendemain.
J] s'était promis d'’éveiller les échos à
dix livues à la ronde en l'honneur de la
résurrection du Sauveur. Il se dirigea
donc vers le logis de sa bien-aimée,
Par la fenêtre ouverte — Je soir était
doux et les martinets, précurseurs des
hirondelles essayait leur vol courbe —
par la fenêtre donc, il entendit un bruit
de voix. 11 distinguait nettement celle
Ge Benoît qui se mélait avec celle de
Cathcrine dans une conversation ani-
mée, entrecoupée de petits rires.
Josse, comme un malfaiteur, se glis-
sa dans le jardin, Il savait qu’une por-
te vitrée donnait sur la salle, à demi-
masquée par un rideau. Par là, il ver-
rait sans être vu.
Pauvre Josse! À peine eut-il avancé
une tête indiscrête entre les plis du
rideau, qu'il se rejeta en arrière, com-
me. si un trait lui eût percé le coeur:
il venait d’apercevoir Catherine, ou-
vrant tout grand ses deux bras à
Benoît qui s’y précipitait et qui l'em-
brassait sur Jes deux joues. C'était plus
que n’en pouvait supporter le jaloux.
Une seconde, l'idée lui vint de casser
le carreau avec son poing et de con-
fondre sur-le-champ l'infidèle et Fami
félon. Mais la douleur l'emportant
sur la colère, il s'enfuit et courut s'en-
fermer chez Jui. Pendant plusieurs
heures, il roula dans sa tête des pen-
sées de vengeances,
Chose bizarre, plus il sentait la rage
Penvahir, et plus résonnait à son oreille
une toute petite phrase de l'Evangile,
une petite phrase que sa défunte mère
répétait souvent au petit garçon vio-
lent et rancunier qu'il avait été:
— Ne laisse pas le soleil se coucher
sur ta colère, mon fils!
Mais il étouffait en Jui cette voix,
serrait les poings et grommelait des in-
jures et des menaces.
Et le soleil se coucha et l'ombre
vint. Josse ne songeait ni à manger, ni
à dormir. Il allait et venait dans sa
petite chambre. On verrait bien de
quel bois il se chauffait! … Lui faire
cela, à lui, un ancien prisonnier...
On avait bien raison de dire que tou-
tes les femmes étaient coquettes et
traîtresses. Pourtant sa Catherine pa-
raissait si sérieuse et si douce. À qui
se fier, grand Dieu! .
Sans doute, Benoît était plus jeune
que lui — les cinq ans de stalag l’a-
vaient tellement vieilli et puis, il était
plus beau, plus riche.
La nuit se passa toute en ces cogi-
tations. Le cri lointain d’un coq fit sur-
sauter le sonneur... L’Angélus. le beau
carillon promis. Le devoir avant tout.
J1 descendit en courant de chez lui.
Sur la place déserte — il faisait à
peine jour — il rencontra Monsieur
le Curé. Comme il s'était levé tôt ce
jour-là! Josse le saluait sans arrêter,
mais le prêtre lui mit la main sur l’é-
paule et, le regardant, lui dit d’une
voix triste:
— Tu as laissé le soleil se coucher
sur ta colère!
Josse s’écarta vivement sans répon-
dre et gravit quatre à quatre l'escalier
en colimaçon qui menait à la tour.
Et qui trouva-t-il, installé à sa place
au grand clavier du carillon? Le jeune
Benoit qui s’apprêtait à commencer
le concert. C'était trop fort! Non
content de lui prendre sa fiancée, il
fallait encore qu'il le supplantât dans
son métier. Pour le coup, Josse vit rou-
ge et, s'emparant d’un marteau qui
traînait sur le plancher, il le brandit
au-dessus de la nuque de Benoît, pen-
ché sur les touches et le laissa retom-
ber de toutes ses forces.
OÔ surprise! Le marteau, en retom-
LE
lée fête des Rois,
rois?
decine.
LISEZ LA BIBLE — LISEZ LA BIBLE — LISEZ LA BIBLE — LISEZ LA BIB
bant atteignit, non la tête du garçon,
mais la cloche de l'horloge qui fit en-
tendre un “ding” sonore.
Surpris, Josse voulut se retourner.
Il ne le put. Tout son corps était para-
lisé. Seul, son bras que prolongeait le
marteau, pouvait se lever et s’abaisser.
Josse essava de regarder autour de
Jui, mais il comprit qu'il ne pouvait
tourner la tête. Benoît avait disparu et,
en face de Josse, un visage féminin sou-
riait. |
—— Catherine, est-ce toi? murmura
le malheureux.
Mais la femme souriait toujours, ne
bougeait pas. Soudain, son bras droit.
Ah! mon Dieu! cette femme, visage
de bois, bonnet blanc, robe rouge.
c'était Colinette.
Ajors Josse s’aperçut avec terreur
qu'il n'avait plus son veston de velours
brun, mais un habit bleu à parements
jaunes, Ce n'était plus Josse le carillon-
neur, c'était Colinct, ie jacquemart!..
Colinette leva done Je bras et une
force invisible le porta à en faire au-
tant: “Ding-Dong!” Ia cloche frémit
longuement,
La place, en bas,
monde.
— Eh! venez voir. Colinet est re-
venu! Colinet est revenu!.…
Mais ce qui fut le plus horrible
pour Josse, ce fut de voir sortant du
logis de Catherine, un long cortège de
noces. Venaient en tête deux ménétri-
ers, puis la mariée toute vêtue de blanc
et le marié, avec un bouquet enru-
banné à Ja boutonnière de son habit
et les demoiselles d'honneur en robes
fleuries. Et tout ce monde de lever
le nez vers le clocher pour acclamer
le jaquemart ressuscité.
— Vive Colinet! Vive Colinet!
Soudain, une voix plus aiguë que
les autres — celle de la petite Rose
peut-être — cria:
s’emplissait de
— Mais, c'est Josse! Hé! Josse, des-
cendez vite!
Pour s'arracher à son support, le
misérable fit un tel effort. qu'il se
réveilla. Il faisait grand jour et le
sonneur était étendu tout habillé sur
le plancher de sa chambre. Sans doute,
à force de pleurer, s'était-il jeté sur
son lit et, se débattant avait-il roulé
à terre, car tout cela n’était qu’un rève
Mais la voix perçant et joyeuse
continuait, d'en bas, de héler le son-
neur.
— Hé! Josse, réveiilez-vous, Vous
avez oublié de sonner l'Angélus ce
matin, Descendez vite, beau-frère,
qu'on vous dise une grande nouvelle.
Hélas non! tout n’était pas un rêve.
Il restait ce doute lancinant, il restait
ce baiser surpris la veille, il restait —
il faut bien le dire — la trahison de
Catherine.
À la voix de Rose se mêlait main-
tenant la voix de Benoît:
— Arrive donc, camarade!
Josse se pencha par la fenêtre et vit,
enlacés, ceux qui l’appelaient. Décidé-
ment, ce Benoît était versatile,car la
façon dont il entourait de son bras les
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—- LISEZ LA BIBLE — LISEZ LA BIBLE — LISEZ LA B
L’Epiphanie est communément appe-
Les Mages étaient-ils vraiment des
(M. Jules B., Montréal)
Les Mages n'étaient pas des rois.
ls constituaient, chez les Mèdes et
les Perses, une caste sacerdotale très
considérée, s'occupant principalement
de divination, d'astrologie, et de mê-
L'opinion populaire qui leur prête
ce titre, s'appuie sur le texte du psau-
— LISEZ LA BIBLE — LISEZ LA B'f>
? Tous les rois se prosterneront
|
me LXXII, 10,
reprises dans
‘Les rois
Saba offriront
Ê +.’
rois se prosterneron
littéralement au règne de
Salomon et spirituellement au rêgne
du Messie, auquel les rois et les grands
de la terre rendront hommage dans la
suite des siècles.
s'applique
-
Ecrivez-nous.
Le Courrier Biblique,
SOCIÉTÉ CATHOLIQUE DE LA BIBLE
5225 av. De Gospé, Montréal 14
épaules de la petite Rose en, disait
long sur ses sentiments. Josse, tout
éberlué et mal éveillé de son cauche-
mar, se rendit à leur appel. Tous deux,
le voyant paraître au seuil, se pré-
cipitèrent sur lui:
— Etes-vous malade? On ne vous
a pas vu hier au soir. On avait pourtant
quelque chose à vous annoncer.
—- Mon grand Josse, mon vieux frère
n'avais-tu pas deviné que nous nous
aimions, Rose et moi?
La petite Rose c'était la petite
Rose qu’il aimait! Josse ne pouvait
imaginer une chose pareille.
— La grand-mère la trouvait trop
jeune pour se marier, Mais Catherine
a été épatante. Elle a si bien arrangé
les choses que jai fait ma demande
hier soir. Nous féterons nos fiançailles
le jours de vos noces. Cela nous por-
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Ce psaume
LISEZ LA BIBLE — LISEZ LA BIBLE — LISEZ LA BIBLE — LISEZ LA BIB
ee —
À BIBLE — LISEZ LA BIBLE
tera bonheur!
Josse tremblait de joie et Catherine,
à sa fenêtre, apparaissait, souriante et
grave.
Et Jà-haut, Colinette, toujours vear-
ve, tapait à contre-temps sur la cloche
de l'horloge.
Extrait de “Contes du sonneurs
de cloches”
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VENIR SARTELRRMSRNUS LS
ESPACE À LOUER
Mercredi le 25 mars 1964
I TIENE
La foi de
nos Jeunes
Par Camille Dozois, ptre
Conférences prochaines du Père Ranwez
(Bulletin d'information)
On vous annonçait, il y a quelques semaines.
de conférences dans toutes les r
elc une série
égions de la province par
‘ un spécialiste de l'éducation religieuse familiale, le Père
Ranwez, S.J., de Bruxelles.
cisions :
Pope :
Voici, à ce sujet, quelques pré-
Itinéraire, lieu et heure des conférences :
Pour la région de la Rivière-la-Paix, les conférences
auront lieu à la salle
mars à 8h. p.m., et le 31
paroissiale de FATITER, le 30
mars à 2h.30 p.m.
Pour la région d’Edmonton,
à l’Académie Assomption
le 1er avril à 8h. p.m. et au Collège Saint-Jean le 2 avril
à 8h. p.m.
À Bonnyville, les sessions auront lieu à l’école Notre-
Dame, le 8 avril et le 5 avril, à 2h. p.m.
A Plamondon, une conférence seulement, le 6 avril à
8h.30 p.m. à la salle du presbytère.
Pour la région de Saint-Paul, les conférences auront
lieu à l'école Racette, à Sh. p.m. les 7 et 8 avril.
Pour la région de Morinville, une première conférence
à Legal le 9 avril au gymnase de l’école à 8h. p.m.; une
deuxième conférence le 10 avril à Morinville au gymna-
se de l’école à Sh. pm.
—Là où il y a deux conférences, notez bien que les deux
sessions ne sont pas identiques. Le Père Ranwez donnera
DEUX CONFERENCES distinctes.
—La contribution entière pour les deux sessions dans chaque
région a été fivée à $100. Pour les professeurs qui sont
membres de l'AEBA, leur carte de membre servira de
LAISSEZ-PASSER.
—Ces conférences s'adressent aux époux et aux parents qui
marchent ensemble vers le Seigneur ; aux jeunes gens qui
songent à leur foyer de demain ; aux prêtres qui cherchent
à les mieux comprendre pour les aider; aux religieux et
aux enseignants qui collaborent avec eux...
—Le P. Ranwez, dans ces rencontres, vous entretiendra du
mystère familial ; de la croissance religieuse de l’enfant ;
de la formation des parents, de la liturgie familiale, ete.
Rappel: cours d'été menant
au Diplôme de Catéchiste
e
La deuxième session des cours d'été en vue du Diplôme
de Catéchiste aura lieu au Collège Saint-Jean à Edmonton,
du 2 juillet au 14 août 1964. Les cours, sous la direction
du Père A. Ledent, omi.,, d'Ottawa, et de M. l'abbé E,
Descoteaux, de Québec, se donneront entre 10h. a.m. et midi
et de 2h. à 4h. pm. Le programme couvre des questions
choisies de doctrine, de psychologie, de pédagogie et de
catéchétique.
: L'inscription est de $5.00 et les frais de cours montent
à $40.00. Pour ceux qui le désirent, on peut obtenir, pour la
somme de $90.00, pension au Collège même.
On prie les intéressé(e)s de bien vouloir communiquer
leurs intentions le plus tôt possible à l'adresse suivante:
COURS DE CATECHESE
8321 - 112e rue,
Edmonton, Alberta
L’Assurance-Vie Desjardins connaît
des succès toujours plus grands
Le 11 mars dernier avait lieu à Lévis
la 15ième assemblée annuelle de L’As-
surance-Vie Desjardins. Les résultats
affichés révèlent, une fois de plus, l'im-
portance que cette entreprise acquiert
dans le domaine économique.
Un montant d'assurance en vi-
gueur d’au-délà de $1,148,000,000; des
revenus excédant les $12,000,000,
volà des chiffres qui indiquent bien
la stature de l'entreprise. Son actif dé-
passe maintenant $18,000,000 ses re-
venus de placement ont augmenté de
$170,000, soit 27.2% pour lui donner
un rendement net de 5.3%. L’Assuran-
ce-Vie Desjardins, on le sait, est tou-
jours, fidèle à sa politique de retour-
ner, dans la mesure du possible, ses ca-
nitaux dans les régions et les milieux
d’où ils proviennent.
Les représentants de l’Assurance-
Vie Desjardins ont mis en vigueur
5,013 nouvelles polices d'assurance
individuelle totalisant près de $37,000,
000 d’affaires; des résultats aussi satis-
faisants ont milité en faveur de lou-
verture de deux nouveaux bureauv ré-
gionaux qui permettront à L’Assuran-
ce-Vie Desjardins d’aller offrir ses ser-
vices à un nombre de personnes encore
plus grand: il s’agit des bureaux de
Montréal-Laval et de Québec-Ste-Foy.
Les représentants spécialisés en assu-
rance collective ont assuré 5,700 per-
sonnes pour un montant de primes dé-
passant $700,000 annuellement.
En 1963, L’Assurance-Vie Desjardins
s'est retirée de la vente de l'assurance
accident “écoliers” faite par l’entre-
mise des commissions scolaires; secteur
où elle s'était pourtant bâtie une répu-
tation enviable tant par le nombre de
ses assurés que par le service qu'elle
donnait. Voulant répondre plus par-
faitement aux besoins des familles ca-
nadiennes modernes, elle a, grâce à
l'appui des Caisses populaires, établi
un service d’assurance-accident fonc-
tionnant douze mois par année ct ac-
cessible à tous les membres de la fa-
mille partout où se trouve une Caisse
populaire, Ce nouveau service, appelé
“ACCIRANCE”, connaît déjà des suc-
cès dépassant toutes prévisions.
Il est à noter qu’un montant de
$1,060,000 a été porté à la provision
Pour dividendes à même un surplus
net à répartir de $1,155,000. Cela illus-
tre le souci de l’entreprise de réduire
au minimum le coût net de la protec-
tion qu’elle accorde à ses assurés.
En 1963, L’Assurance-Vie Desjardins
a procédé à une évaluation des tâches
qui a permis d'élaborer la valeur rela-
tive des emplois au siège social: tout
en permettant une plus grande équité
quant à la rémunération, ce travail
résultera en une meilleure descrip-
+
tions des emplios qui facilitera la sé-
lection du personnel, son entraîne-
ment et aussi sa promotion.
Soucieuse d’être “présente à notre
milieu”, L'Assurance-Vic Desjardins a
soutenu, au cours de l’année écoulée,
son intérêt pour tout ce qui évolue
chez nous aux secteurs économique et
social.
Mentionnons, en particulier, sa par-
ticipation à la réalisation de L'Institut
Coopératif Desjardins, la diffusion à
“Familles d'aujourd'hui, en collabora-
tion avec les Caisses populaires, des
donnés et conclusions de l'enquête sur
les conditions de vie, les besoins et les
aspirations des familles salariées cana-
diennes-françaises. La série radiopho-
nique d'été “Fête au village” a, cette
année encore, été diffusée sur la plus
longue chaîne de postes au pays.
L’Assurance-Vie Desjardins jouit dé-
jà d’une réputation enviable en raison
de ses préoccupations sociales et cul-
turelles; les résultats qu’elle affiche
dans son l5ième Rapport annuel lui
méritent une réputation toute aussi
enviable comme institution financière.
LA SURVIVANCE
Le milieu rural désireux de
découvrir ce qu'est ARDA
Grâce à l’heureuse initiative du
contre de cours professionnels, agri-
coles et sociaux, trois journées d'études
se tiennent à St-Paul. Les cours sont
sous la direction de M. Jacques Beau-
cage, attaché au service d'ARDA du
gouvernement fédéral.
Ces cours qui s'insèrent dans les
cadres des cours qui sont donnés de-
puis trois ans dans le diocèse, sont
couronnés d’un grand succès. Aux don-
nées sociologiques, aux principes de
techniques agricoles, de comptabilité,
ete, viennent s'ajouter des données
toutes nouvelles à l’éducation populai-
re.
À l'ouverture de ces cours M. J. La-
joie présente M. Jacques Beaucage aux
soixante-treize personnes venues de
treize paroisses du diocèse. Plusieurs
membres du clergé font partie de ce
groupe. L'élément féminin, trop peu
représenté, accuse une faiblesse du
milieu rural.
M. Beaucage sur l'invitation de M.
Lajoic prend Ja direction du groupe
Très heureux d’avoir à travailler avec
un groupe aussi important, celui-ci
ne peut cacher son étonnement de
voir les dames si peu nombreuses. I]
importe, dit-il, que dans un projet d’a-
ménagement rural l'élément féminin
qui représente 50% de la population
puisse s'exprimer dans la même pro-
portion. .
M. Beaucage répond maintenant à
un désir qui se lit dans toutes les
figures et nous dit ce qu'est “ARDA”.
Le gouvernement fédéral dit-il, avec
la loi du Réaménagement rural et du
développement agricole, ne reconnait
plus comme efficace l'aide apportée
SEMAINE DES BIBLIOTHEQUES
4 AU 11 AVRIL 1964
Vous avez tout
a gagner!
Dans les pays libres, la lecture est
désormais accessçible à ‘tous. Grâce
aux bibliothèques publiques qui s’or-
ganisent, se développent et se multi-
plient; grâce à la libéralité du prêt des
livres, personne ne se voit privé de lec-
ture.
Autrefois, ou encore dans des pays
retardataires ou à gouvernement totali-
taire, ce privilège a pu être l’apanage
d’un petit nombre de favorisés, il ap-
partient désormais à chacun de nous.
Aujourd’hui, grâce à l'instruction o-
bligatoire, et qui tend à devenir gra-
tuite à tous les échelons, négliger d’ap-
prendre à lire paraît aussi stupide que
de lier les pieds d’un enfant pour l’em-
pêcher d'apprendre à marcher ou à cou-
rir, et quiconque sachant lire ne lit pas
ou peu se prive d'acquérir des con-
naissances et de bénéficier de l'expé-
rience des autres. Ses capacités intel-
lectuelles s’atrophient tout comme les
jambes de l'enfant immobilisé.
En démocratie, chaque citoyen de-
vrait exercer son droit de lire; pour
s'outiller dans la lutte pour la vie, pour
préparer une carrière, pour réussir
dans les affaires, pour connaître d’heu-
reux moments de détente.
Oui, il faut lire, régulièrement, cons--
tamment; on apprend à tout âge et
les bibliothèques publiques sont ou-
vertes à tous. Vous y recevrez un bon
accueil, on vous y indiquera les livres
qui peuvent le mieux vous aider à at-
teindre le but que vous cherchez, on
vous conseillera même sur les métho-
des de lecture.
En cette semaine canadienne des
bibliothèques, prenez la résolution de
fréquenter souvent votre bibliothèque
publique. Au lieu du slogan négatif
“vous n’avez rien à perdre” dites-vous
que “vous avez tout à gagner” en de-
venant un habitué de votre bibliothè-
que et en consacrant chaque jour une
ou deux heures à des lectures profita-
bles.
Raymond Tanghe.
rapport annuel 1963
d’octrois donnés sans une connaissance
approfondie des besoins d’une région.
Comment dit-il, connaître ces besoins,
si la population qui l’habite ne con-
sent pas elle-même à découvrir aux mo-
aux milieux défavorisés par le moyen
vens d'enquêtes, ct d'études sur place,
des besoins récls de son milieu?
Mon rôle dit-il encore, n’est pas ce-
lui de vous aider à découvrir vos pro-
blèmes, ni celui d'un conférencier, mais
bien celui de vous donner une techni-
que de base pour vos études en groupe.
Si l’évolution a touché tous les secteurs
de l’activité humaine, l'éducation po-
pulaire a subi aussi ses transformations.
Il importe que vos études préliminaires
à l'action que vous projetez, soient
faites selon des normes bien établies.
Trois facteurs généraux sont à con-
sidérer dans la tenue d’une réunion de
groupe.
En premier licu, le contenu; savoir
quels sont les sujets à l'étude, Un deu-
xième facteur, la procédure. La par-
ticipation de tous est indispensable.
Elle sera rendue possible en autant que
le leader sera conscient de son rôle. No-
tons ici que le leader ne doit pas être
au dessus du groupe, Enfin un troi-
sième facteur, l’émotivité, Parce que
personne ne peut se réclamer du pri-
vilège de l'absolu dans la discussion
de problèmes, il est très improtant
que les opinions soient respectées.
Pour que le groupe évolue normale-
ment, quatre conditions doivent con-
courir à créer une saine ambiance.
Qu'il y ait de l’individuation; permet-
tre à chacun de croire que sa présence
en tant que membre d ugroupe n’est
pas ignorée.
Qu'il y ait encore de l'intégration;
le membre doit avoir l'assurance qu'il
est bien admis dans le groupe.
Une troisième condition: de l’in-
- fatuation: fournir au membre en dépit
des erreurs possibles dans l'émission
de ses idées; la satisfaction même ex-
cessive qu’il a de soi. Enfin la créati-
vité; c'est-à-dire qu'il y ait du neuf
dans les idées,
Toujours en suivant M. Beaucage
nous en sommes à établir les caracté-
ristiques du membre. 1] devra posséder
d’abord le sens de la solidarité. Ceci a-
fin d'établir un sentiment de sincérité;
partagé par chacun.
Etre conscient des tâches à accom-
plir. Posséder un dynamisme vivant.
Avoir de l'évasion, de aération men-
tale, sources de détente. De la dépen-
dance, qui donne sentiment de la disci-
pline et des règles.
Enfin avoir du sens critique, qui
permet de donner une appréciation
juste aux idées émises.
Voilà, en résumé, les règles auxquel-
les devront se soumettre tous ceux qui
s'intéressent à Ja reconnaissance par
“ARDA” de votre région comme région
pilote.
Ces étapes préliminaires qui con-
sistent dans l'étude des problèmes du
milieu, dans la prise de possession des
responsabilités de chacun et dans le
développement du sens communautaire
seront, dit encore M. Beaucage l’ache-
minement normal d’une action con-
srète et positive.
J'insiste dit-il encore sur l'importance
que la population locale donne des
preuves de sa participation à Félabo-
ration d'un plan d'aménagement rural.
Que les gens du milieu soient prêts à
se faire tous des collaborateurs actifs,
d’un tel programme. Déjà vous avez
quelque chose à votre actif. Vos cours
d'éducation que vous recevez avec in-
téret depuis trois ans et votre société
’établissement que vous soutenez, té-
moiguent favorablement de votre prise
de conscience des problèmes. IL im-
porte que vous continuiez dans Ja
même joie. En suivant les données que
je vous ai transmises et en perfection-
nant entrainement à laquelle vous
vous êtes aimablement soumis au
cours de ces trois jours. Vous êtes surs
d'aller d'avant. Il y aura des obstacles,
des retards mais je serai heureux de
L'ASSU
Le sécurité
au parlement
Ottawa. — On a considérablement
resserré les dispositifs de sécurité dans
l'édifice du parlement fédéral à Otta-
wa, La Gendarmerie royale a en outre
révélé que tous les gardes en fonction
sur la colline parlementaire avaient
reçus des fusils de calibre 38. Ce type
d'arme est celui que portent habituel-
lement les membres de la RCMP, mais
auparavant, seuls quelques gardes au
parlement en étaient munis. Les ré-
centes mesures, selon un porte-parole
du corps policier ont été provoquées
par l'assassinat du président Kennedy,
ainsi que par la resurgescence du ter-
rorisme au Québec.
Ld
Un représentant
américain auprès
du Saint-Siège?
New York -— Le président des Etats-
Unis, M. Lyndon Johnson, envisage-
rait sérieusement de nommer un repré-
sentant personnel ou un ambassadeur
auprès du Saint-Siège, écrit le quoti-
dien newyorkais “New York Journal
American”.
“L'initiative de cette nomination se-
rait due à M. Humphrey, sénateur dé-
mocrate du Minnesota, leader adjoint
de la majorité, de confession protestan-
te, qui aurait fait valoir qu'il était
dans l'intérêt des Etats-Unis, d’avoir
un représentant au Vatican, important
“centre d'écoute” pour le Moyen-O-
rient, l'Afrique et l'Amérique latine”.
vous revenir pour vous aider à fran-
chir ces difficultés,
En terminantces journées si rem-
plies et si enrichissantes pour le grou-
pe, M. Antoine Mahé président du
comité des cours professionnels s'est
fait l'interprète de tous pour remer-
cier chaleureusement M. Jacques Beau-
cage. À tous les participants il exprima
sa satisfaction et ses remerciements.
Page 3
Le Séminaire social Pie XHI
(Section paroisse Saint-Thomas)
M. René Mathieu,
Animateur du cours de
géographie humaine
Résumé de la 3e conférence:
Présentation de films
1. Culture du blé — LE BLE DE L'OUEST (24 min.)
“Pendant que dans les plaines de l'Ouest canadien les
fermiers récoltent le blé qui sera maintes fois examiné et
classifié avant d’être distribué sur les marchés du monde,
des spécialistes de la Ferme expérimentale fédérale travail-
lent sans cesse à la création d’un blé de type supérieur.”
(ONF)
2. L'élevage — TETES BLANCHES (20 min.)
“Te plus grand ranch du Canada n'a pas son shériff.
Mais il comprend tous les autres héros de la légende: le
cheval, le cowboy, l’Indien et les têtes blanches des bouvil-
lons. Le film nous transporte dans un ranch situé sur un
immense plateau vallonné de la Colombie Britannique. Xà,
nous verrons comment se fait Félevage des boenfs de l'Ouest
renommés pour la qualité de leur viande.” (ONF)
3. L'alimentation — L'INTEGRATION (26 min.)
“Ce film reflète le double sentiment d’anxiété qui par-
tage la classe agricole devant le bouleversement des struc-
tures traditionnelles de l’économie rurale. INTEGRATION
expose à l’aide de témoignages de cultivateurs et de spécia-
listes des questions agricoles, les chambardements que peut
provoquer à la ferme la concentration sous une seule autori-
té étrangère à la ferme des diverses phases de la production
agricole: production — entreposage — distribution aux
consommateurs. (ONF)
Pour une étude des films mentionnés ci-haut, rendez-
vous au presbytère Saint-Thomas d'Aquin, 8520-9le rue,
le Jundi 30 mars à 8h. p.m.
*23,610-°°
Tél. : 422-2736
Voilà ce que l’A.C.F.A.,
par son Service de Sécurité familiale,
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Bonnyville _
Donnelly _—
Edmonton _
Girouxville _
Holyoke _
Jean-Côté _
LaCorey _
Lafond _
Legal _
Picardville _
‘St-Albert _
St-Edouard _
St-Isidore _
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10019 - -09e rue, Edmonton
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2 réclamations 1,670.00
2 réclamations 625.00
8 réclamations 3,795.00
2 réclamations 2,435.00
1 réclamation 500.00
1 réclamation 500.00
1 réclamation 500.00
1 réclamation 810.00
1 réclamation 500.00
1 réclamation 1,035.00
2 réclamations 1,895.00
2 réclamations 1,580.00
14 réclamation 125.00
5 réclamations 3435.00
3 réclamations 1,100.00
1 réclamation 500.00
1 réclomotion 125.00
37 réclamations $23,610.00
de la FCFC
M. Roger W. Larochelle, propagandiste,
826-22 avenue ouest, Vancouver
Tél.: TR 6-7409
RANCE-VIE DESJARDINS
GIÈGE SOCIAL: LÉVIS, CANADA :
ser
Page à tirer £ _ LA SURVIVANCE | | 4 Mercredi le 25 mars .1964
Festival Régionale de Saint-Paul
Au sixième festival de la Chanson
française, le 8 mars, à l’auditorium de
l’école Racette, de St-Paul, le R.P. Ar-
thur Lacerte, recteur du Collège St-
Jean et du Collège d'Education, M.
Fabbé Rosario Simard, curé de Thé-
rien, aumônier d'ACR, Je Fr. Albert
Lafrance, omi., professeur de chant
au Collège St-Jean, interprètent l’ap-
préciation des chants variés, présentés
par les écoles du diocèse de Saint-
Paul.
M. l'abbé EF. Crotcau, recteur de la
paroisse cathédrale, se fait l'interprète
de SE. Mgr Ph. Lussier, absent en
cette circunstance.
Un rctantissant “O Canada”, sous la
direction de M. Laurier Levasseur, réu-
nit toute l’assistance. En adressant des
paroles de bienvenue, M. Sylvain Le-
Febvre, président de PAEBA ct mat
tre de cérémonie, fait allusion aux
changements produits depuis le pre-
mier festival diocésain, particulière-
ment de l'aigmentation de la popula-
tion scolaire, “C’est malheureux que
le comité doit exclure un certain nom-
bre d'élèves à ce festival”, dit-il, “pour
raison d'espace. C’est un problème
en étude”. Ce 16e festival a comme
premier but de répandre la joie parmi
les élèves et les parents. C’est aussi un
moyen d'encourager à parler français,
de garder nos traditions et d’apprendre
Yart de la politesse. Il existe un réveil
à travers tout le pays. Le bloc anglais
fait. un effort surhumain pour appren-
dre Je français. Il est juste que les
Canadiens français, qui seront proba-
blement appelés à être des agents de
© liaisons “entre les deux groupes. du
pays, soient les premiers à bien parler
leur langue. “Ce festival est une occa-
sion pour bien l’apprendre”, affirme M.
LeFebvre.
À tour de rôle les différents groupes
font estimer leurs chants comme suit:
“Marin” par le grade 4 de St-Paul —
directeur M. Laurier Levasseur — ac-
compagnatrice, Rév. Sr Cécile-de-l’As-
somption;
“Tous les chemins” par le grade 5,
de Bonnyville — directrice Mlle Ma-
deleine Dumesnil, accompagnatrice, R.
Sr Ange-du-Carmel:;
éclat de rire” par les Gais Lurons,
de Fort-Kent — directrice Rév. Sr
Marie-Laure-du-Rédempteur, accompa-
gnatrice, Rév. Sr Charles;
“Dominique” par le grade 5, de St-
Paul — directeur M. Laurier Levasseur,
accompagnatrice, Rév. Sr Cécile-de-
l'Assomption;
“La prière en famille” par les gra-
des 4 à 9, de Brosseau — directeur M.
l'abbé Pigeon, accompagnatrice, Rév.
Sr Cécile-de-l’Assomption;
“Jai tant dansé” — grand choeur,
directeur M. l'abbé Simard;
“Oui, j'ai rêvé” par les filles du
grade 6, de St-Paul —— directeur M. L.
Levasseur, acc. Rév. Sr Cécile-deY’As-
somption; elles ont également chanté
“Si tu voulais chanter”;
“J'étais dans Ja joie” ps. 121, “Le
- <arillon” par les grades 6 à ll, de St-
Atmore
Mercredi le 18, avait lieu la réunion
des Dames de Ste-Anne.
Mme Pierre À. Boulanger est hospi-
talisée à Lac-la-Biche depuis plus d’u-
me semaine.
M. Olivier Trudeau est hospitalisé
à Edmonton depuis le 13 mars.
M. Emile Gauthier se rend à Edmon-
eon toutes les semaines pour soins mé-
dicaux.
M. J. Johnson, apiculteur, est par-
ti vendredi avec sa dame. Mme Jobn-
son reviendra de Trail, B.C., dans une
semaine, et M. reviendra de la Cali-
fornie avec des abeïlles, dans un mois.
. M. et Mme Bill Duigou se sont ren-
dus à Vancouver où ils visitèrent le
père de M. Duigou.
Le 18 mars, Mme John Matoga, de
Spruce Valley, a donné naissance à un
garçon.
NOURRITURES À
*
d
POUSSINS
Vincent — directrice, Rév. Sr Madelei-
ne-de-J'Espérance, accompagnatrice R.
Sr Camille-André;
“Hello, le soleil brille, “Un p'tit gars
qui chante” par les garçons du grade
6, de St-Paul — directeur M. L. Le-
vasseur, accompagnatrice Rév, Sr Céci-
le-de-lAssomption;
“Le chameau” par le grade 8, de
St-Paul — directeur M. Armand Laing,
accompagnatrice Mlle Michelle Decos-
se;
“Perrine était servante” grand choeur
directeur M. l'abbé R. Simard;
“La Bohême” par les grades 10 à 12,
de Mallaig-—directeur M. Roger Ména-
ge, accompagnatrice Rév. Sr Camille-
André;
“Sur mer” par les grades 10 à 12,
de Fort-Kent — directrice Rév. Sr Ma-
rie-Laurc-du-Rédempteur, accompagna-
trice Mlle Gloria Ehnes;
“Petit voilier” par Ja Chorale Notre-
Dame, de St-Paul — directeur M.
l'abbé Benoit, accompagnateur M. L.
Levasseur; ils ont également chanté
“Berceuse de Brahms”;
“Les soirées de Québec par les gra-
des 10 à 12, de Bonnyville — directeur
M. Gérard Moquin, accompagnatrice
Rév, Sr Anne-du-Carmel;
“La rose rouge” par les grades 10 à
12, de St-Paul — directeur M. Armand
Laing, accompagnateur M. Lauriel Le-
vasseur;
“Youkaïdi, youkaida” grand choeur
— directeur M. Armand Laing.
M. l'abbé R. Simard mentionne que
tous les chants ont manifesté beaucoup
de ‘travail de la part des directeurs et
des élèves. “Ce dynamisme dans le
chant est un point fort, dit-il, et cer-
tains directeurs ont un contrôle parfait
sur leur chorale”. il incite à veiller sur
les finales, quelquefois trop faibles ou
trop précipitées.
Le Frère Albert Lafrance, déclare
qu'il a entendu de belles voix, jamais
forcées, bien qu’il souligne qu'il fau-
drait travailler davantage au contrôle
de Ja respiration. Il approuve les diffé-
rents moyens, tel que la marche, le ba-
lancement, pour faire entrer le rythme
de la musique, et félicite les profes-
seurs d’avoir choisi des morceaux va-
riés.
“C'était un plaisir pour moi d’avoir
assisté à ce festival”, témoigne le K.P.
À. Lacerte. “Le festival, dit-il, est une
école de savoir-faire, puisqu'il faut se
soumettre à la nature des choses et en
avoir un gland respect. Les participants
obligés d'étudier la mélodie, de donner
au rythme son sens, de se soumettre à
la direction et de chanter en groupe
avec les autres, reçoivent une forma-
tion, Pour l'auditoire qui communie à
ces chants, le festival devient en plus
une école de patriotisme, de culture
française”.
Le R.P. Lacerte fait remarquer le
talent, les belles voix parmi les jeunes.
Il fait mention, particulièrement, de
l'art, du doigté de M. Laurier Levas-
seur comme directeur de chant. S’a-
dressant aux autorités, il appuie pour
que tous ces talents soient encouragés
et développés. :
“Remercions le’ bon Dieu de tous
ces talents, déployés devant nos yeux.
D'année en année l’on constate de mei-
leurs résultats”. Voilà les premières
paroles de M, l'abbé F. Croteau. Re-
mémorant le premier festival, il cer-
tifie que le succès de ce seizième fes-
tival se doit au dynamisme de Mgr
Beaudoux, premier responsable de cet-
te oeuvre éducatrice. Oubliant souvent
la préparation, les heures de dévoue-
ment, les professeurs ne regrettent pas
leurs sacrifices. Le festival est un
tout complet avec le programme sco-
laire qui se déroule, conclut M. Fab-
bé Croteau. :
Des remerciements sincères, adres-
sés aux juges, aux parents et aux pro-
fesseurs, par M. S. LeFebvre, termi-
nent cette fête de gaité.
J. Lafleur
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G
a
ms
Le festival oratoire
de Beaumont
Dimanche le 15 mars
Dire que ce festival a été, de tous
points, un succès, c'est affirmer une
chose que tous les auditeurs ont cons-
tatée, ct qui, en réalité, devait être
telle, parce que on ne peut rien ima-
giner de mieux organisé. Grâce au
travail intelligent de M. Laurent Beau-
doin, principal de l'école, et de ses ai-
des, tout était prévu jusque dans les
moindres détails.
Et que dire du choix des morceaux:
récitations, discours et compositions?
Il n'y a pas d’exagération à soutenir
que tout était marqué au soin de la
distinction ,du sérieux et de l'intérêt.
Que les orateurs de la soirée nous par-
donnent, si nous parlons d’abord des
plus petits On ne peut nier que ces
petits des grades 1, 2 et 3, sont parti-
culièrement attachants. A les voir a-
vancer sur Ja scène, à les entendre ré-
citer des morceaux, proportionnés à la
longueur de leur jeune mémoire, à
saisir Jeurs efforts de prononciation et
articulation, on ne peut qu'être tou-
ché et retenu au point d'être tout yeux
et tout oreille, pour suivre leur moin-
dre mouvement. Les Juges eux-mêmes,
au moins l'un d'eux, en oubliaient leur
grave fonction, et avaient peu noté.
des fautes contre les pauses, les liaisons,
contre l'articulation, la prononciation,
la tenue, les gestes: “Allez donc déta-
cher les yeux de ces petites figures,
pour manier la plume et le crayon!
Nous sommes devant des talents en
herbe, mais qui promettent”.
Mais toute cette admiration pour les
plus petits n’enlève rien à celle, tout
aussi vraie, que nous avons éprouvée
pour le travail et le succès des autres
‘sections.
Les morceaux à dire, tout aussi bien
choisis et proportionnés à une mé-
moire plus exercée et à des aptitudes
plus développées, ont été récités, par
tous avec talent et, par quelques-uns,
avec une aisance, une souplesse et un
naturel, qui dénotent de la virtuosité.
Les compositions et les discours des
grades 10, 11 et 12, on l’a fait remar-
quer, portaient sur des sujets sérieux et
de grande actualité: les dangers de
la cigarette, de l'abus des spiritueux,
le machinisme et ses avantages, le res-
pect de notre langue, la fierté natio-
nale... Tout cela dénote, chez les au-
teurs un grand souci d'aborder des su-
jets au niveau de leur développement
intellectuel, et de se tenir à la page, et
ce qui mieux est, de traiter ces sujets
avec une hauteur et une justesse mora-
les dont il importe de les féliciter très
sincèrement, à une époque où chez des
jeunes de leur âge, les idées les plus
vénérables subissent un bouleversement
scandaleux, les jeunes de Beaumont sa-
vent garder la ligne droite, blâmer ou
louer, ce que la droite raison présente
comme bien ou mal. Quant à la dic-
tion, bien qu’il y ait des inégalités dans
les aptitudes à parler en public, on
peut dire que tous ont prononcé leurs
compositions ou leurs discours plus que
convenablement. La prononciation est
d'une manière surprenante, sans l’om-
bre d’accent étranger. Quant à Tarti-
culation, elle a été, chez la plupart as-
sez énergique. Faisons remarquer, ce-
pendant, qu'on ne l’a pas toujours sou-
tenue; à la fin d’une phrase ou vers le
milieu de la récitation ou du discours,
elle semblait moins surveillée, chez
quelques-uns.
Pour forcer tous les auteurs de la
soirée à mettre en pratique les exer-
cices d’articulation, on a eu l’excellen-
te pensée de bannir de la scène les
microphones, ces complices du “mar-
mottage”, ces tueurs d’articulation, et
d’éloquence, Pour cela et pour ladmi-
rable organisation de ce festival, il
faut féliciter tous ceux qui ont apporté
leur concours habile et diligent, Aux
élèves, petits et grands, disons notre
admiration sans réserve. En dépit d’un
programme scolaire très chargé, ils ont
réussi à apprendre par coeur de char-
mants morceaux, à composer, à débiter
de mémoire et d'une manière intéres-
sante des dissertations et des discours
fort appréciés de tous, même des Ju-
ges dont la fonction consiste à voir non
seulement les bons points mais à guet-
ter les erreurs, ces dernières difficiles à
détecter, ce soir-là eu égard à la pré-
paration presque trop soignée. Sans
reproche.
Le trophée gagné par la division des
grades 1, 2 et 3 a été décerné à Mlle
Marguerite Brassard, grade un. Divi-
sion grades 4, 5 et 6, le trophée décer-
né à Mile Yvonne Charest, grade 6
La division 7, 8 et 9, trophée décerné
à M. Ronald Bérubé, grade 8. La divi-
sion 10, 11 et 12, Mlle Isabelle Leblanc. -
grade 12. É
. Félicitations aux heureux gagnants.
À. Beauchamp, o.m.i.
ne
GOURIN
En visite chez M. et Mme Edmond
Ulliac, il y a deux semaines, M. et
Mme T. Duperron, du Château, de
Legal.
M. et Mme Jean Ulliac ont été hos-
pitalisés pour environ une semaine.
* Dernièrement M. et Mme Albey
Gauthier ont fait une courte visite à
Edmonton.
Eugène Gauthier est de retour chez
lui après quatre mois et demi chez Ed-
mond LeRouzic, pendant Ja convales.
cence de ce dernier,
JEAN-COTE
BAPTEME:
M. et Mme Jean-Baptiste Simard née
Renée Savard, annoncent Ia naissance
d’un fils le ler février à l'hôpital de
Peace River et baptisé le 22 février
sous les prénoms de Joseph Daniel.
Parain et marraine, Jean-Marie Savard
et Suzanne Savard, oncle et tante de
l'enfant.
MALADES:
Mme Gabriel Savard à l'hôpital
d'Edmonton pour une opération.
À l'hôpital de Peace River, Mme Ar-
thur Parent.
A l'hôpital de McLennan Mme Jean
Baptiste Simard, Messieurs Napoléon
Bruneau et Maurice Désilets.
À l'hôpital de High Prairie, M. An-
dré Gagnon qui à eu un accident.
À tous ces malades, nous souhaitons
prompt rétablissement.
FORT KENT
BAPTEMES:
Joseph-Edmond-Dominique, enfant
de M. et Mme Roland Rondeau, né le
26 février, baptisé Je Il mars. Parrain
et marraine: M. Julien et Mlle Margue-
rite Rondeau:
Joseph-Florent, enfant de M. et Mme
Joseph Dubeau, né le 2 mars, baptisé
le 15. Parrain et marraine: Lorenzo Du-
beau et Madeleine Audy.
Marie-Fleurette, enfant de M. et
Mme Joseph Dubeau, née le 2 mars,
baptisée le 15. Parrain et marraine: M,
et Mme Antonin Audy.
Les parties de cartes du carème sont
terminées, -Nous-remercions tous ceux
qui sont venus nous encourager.
Plusieurs paroissiens sont hospitali-
sés, allons les visiter,
Nous offrons nos sincères condoléan-
ces à Mme Tréflé Mercier, à l’occasion
du décès de son père, M. Zoël Baril, de
Bonnyville.
DONNELLY
APPRECIATION:
Le Cercle Lacordaire et Jeanne d’Arc
remercie sincèrement ceux et celles qui
ont contribué au succès de leur soirée
du 15 mars dernier, La boîte de mar-
chandises, d'une valeur de plus de
$15.00, a été gagnée par M. Alexis
Bouchard, :
VA ET VIENT:
M. et Mme Joseph Pariseau sont par-
tis pour l'Est.
Mme Edouard Requier a fait un
court voyage à Edmonton.
NOS MALADES:
Mme Arthur Thibault a été hospita-
lisée. Nous lui souhaitons une meil-
leure santé. |
Joussard
Heureux sont les gagnants de notre
série de parties de cartes et nous les
félicitons: Mme Lois Marsh et M. Er-
nest L'Heureux. Gagnant du prix de
présence: M. Paul Comeau.
Dimanche le 22, belle assistance,
malgré le froid, à notre Bingo. Les
beaux prix de la rafle furent gagnés par
les personnes suivantes: ler prix: cou-
verture de lit, Sydney Caudron; 2ème
prix: panier d’épiccrie, M. Jos Gill; 8e
prix: billet de $5.00, M. l'abbé Dubé,
curé de Falher.
Cette soirée fut un grand succès et
termina nos soirées paruïissiale pour la
saison. Nous désirons remercier de tout
coeur les organisateurs et les donateurs
pour leur dévonement ct leur grande
charité,
Notre curé, le Père Pinard, est enco-
re dans un hôpital d'Edmonton, et M.
David Brassard à lhôpital de High
Prairie. Nous leur souhaitons prompt
rétablissement.
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CUEILLETTE DE
BOUTEILLES:
Au cours de a semaine dernière
quelques volontaires ont offert leurs
services pour Ja cueillette de bouteilles
vides; tous ces messieurs ont été bien
accueillis dans les foyers; les dames
étaient heureuses de vider la cave et
les charges de bouteilles arrivaient
nombreuses au lieu convenu. Un pre-
mier camion rempli a été envoyé à la
ville, il avait une valeur de $139.00;
il est temps de dire que les petits ruis-
seaux font les grandes rivières; et la
cueillette n’est pas terminée. La som-
me recueillie sera utilisée à combler
le déficit occasionné par l'entretien de
la patinoire et du Centre récréatif au
cours de la saison. Félicitations à MM.
Jean Ticulié, Omer Maurier, Walter
van de Walle, Dominique Cculombe,
Jean-Piérre Létourneau, Ernest Lé-
tourneau, Léo Régimbald, Henri Mont-
FALHER
C’est avec regret que nous apprenons
Je décès de M. Delphis Servant, surve-
nu à l’âge de 63 ans et 11 mois, à
l'hôpital Sacré-Coeur de McLennan,
le L1 mars, Son service et sa sépulture
eurent lieu à Falher le 14 mars.
Lui survivent: son épouse née Marie-
Rose Guay, et ses six enfants: (Yvon-
ne) Mme Paul Gaucher, (Délia) Mme
Hubert Gaucher, (Eva) Mme Perreault,
‘ (Noella) Mme Lucien Fortier, Maurice
et Juliette, tous deux à la maison.
M. Orélus Servant portait la croix.
Les porteurs étaient: MM. Georges, Y-
von et Albert Servant, Philippe Babi-
neau, Jos Labrecque et Adélard Ouel-
lette. Les funérailles étaient sous la
direction de “Chapel of Memories”, de
High Prairie,
Sincères condoléances à la famille.
EN VOYAGE:
M. et Mme Jean-Paul Désaulniers,
M. et Mme Laurent Désaulniers et M.
et Mme Wilbrod Désaulniers en visite
de trois semaines au Manitoba chez
leur parenté et leurs amis.
M. Paul Sicotte, à Regina pour as-
sister à une conférence groupant tous
les gérants de coopératives du Manito-
ba, de la Saskatchewan, de l'Alberta et
d’une partie de l'Ontario.
Puisque le mouvement coopératif est
orienté vers et pour le consommateur,
une étude constante de méthodes d’o-
pérations est toujours de mise par con-
séquent Jes gérants de coopératives de
consommation de Ouest, au nombre
de 510, ont discuté sur une intégration
plus grande à tous les niveaux d’opé-
ration afin de pouvoir offrir de meil-
leurs prix et un service plus complet
et plus efficace.
SOIREE D'AMATEURS:
Le 15 mars, se tenait au gymnase
de l’école Routhier une soirée d’ama-
teurs, organisée sous les auspices des
coopératives suivantes: l'Alberta Wheat
Pool, rep. Lionel Montpetit et Robert
Lemire; Pool-Seed Division, rep. Ed.
Manyriak; Co-op Implements, rep. Art.
Bussière; Livestock Co-0p, rep. Eugène
Girard; Co-op Seed Plant, rep. Aimé
St-Laurent; Co-op Insurance, rep. Ro-
bert Lemire; UFA Co-op, rep. Doucet
Frères; Women’s Guild, rep. Mme Paul
Sicotte. Cette soirée groupait des con-
currents de Falher, Guy, Donnelly, Gi-
rouxville et Jean-Côté.
Voici le programme:
“O Canada”, Mme Paul Sicotte au
piano; mot de bienvenue, M. Paul Si-
cotte; mot sur les objectifs de Co-op
Rally, W. K. Conner; présentation du
maître de cérémonie, Lionel Montpetit;
chant “La mer”, Lévis Bergeron: ac-
cordéon, “May Flowers”, par Juliette
Aubin; chant “La prière de Lonise”,
par Evangéline Maisonneuve; “O My
Papa” par Richard Chalifoux; “La vie
en rose” par Mme E. Lessard; guitare
et chant “Don't You Realize”, par Y-
van Gagnon et Armand Brochu; piano
“Polichinelle” par Evelyne Deslauriers;
“Falling Rain”, par Marilyn Despins :
“Mes jeunes années, par René St-An-
dré; mot sur le Women's Guild, par
Mme Marie-Paul Sicotte; piano “Dream
Waltz” par Mme Gaby Johnson; “Ma-
rie Calumet” par Henri Johnson; orgue
“Sailor” par Claudette Parent; accor-
déon “Reel” par Armand Grenier; chant
“No More” par Diane Parker; piano
“Rendez-vous, par Gracin Bugeaud ;
violon “Springtime in the Rockies” par
Adrien Poirier et fils; piano “Edelweiser
Glide” par Lucille Maisonneuve; orgue
“Blowing in the Wind” par Judy Edick-
son; chant “Barcarolle” par Mme Y-
vette Robertson et Mme Rose-Aimée
Bugeaud; guitare “Guitar Boogie” par
Oliva Aubin; chant et guitare “Le Bos-
sa Nova”, par Normand Lavoie: vio-
Jon, piano et cuillères “Reel” par Mme
Simone Manysiak, Rose Guénette et
Mme Réjean Trudeau; chant “Funicul-
li, funiculla” par Thérèse Laugon; pré-
senfation des juges: Mme C. Paradis,
Mme P. Dentinger et M. L. Maison-
neuve; mot d'appréciation de la soirée
par M. Walter Cooper; numéro sur-
prise, par le R.P. Goyette, le Père Pri-
eur et M. Normand Lavoie; commen-
taires, par M. Louis Besse; présenta-
tion des prix aux gagnants: groupe des
jeunes, René Saint-Andrà, Evelyne
Deslauriers ainsi que Evangéline mai-
sonneuve; groupe des adultes: Marilyn
Despins, Mme Robertson et Mme Bu-
geaud, Oliva Aubin: piano, “God Save
the Queen” par Mme Sicotte; présenta-
tion dè Rita Moore, gagnante du “Ba-
king Contest” et mot sur le voyage à
Regina, par Mme Guénette; tirage du
prix d'entrée par Rita Moore, l’heureux
gagnant fut Roger Laflamme.
La soirée se termina par un goûter.
petit,
Wilfrid Larose, Jean-Baptiste
pour leurs services
térêt de la paroisse.
BINGO AUX JAMBONS: ,
Dimanche dermier' le 15, avait été
“organisé un bingo aux jambons. Con-
jointement les marguilliers, les membres
de la Légion et les Chevaliers de Co-
lomb avaient mis leurs efforts afin de
faire un succès de cette soirée; ils ne
furent pas déçus car très nombreuse
était l'assistance; ce fut une véritable
soirée familiale autant que paroissiale;
tout le monde s’est bien amusé et plu-
sieurs ont eu le plaisir de retoumer
avec un beau jambon. Félicitations à
Mme Paul Laforce, M. Terry Quaghe-
beur, Mme Lorraine de Champlain, M.
Carry Bolle, Mme Adélard de Cham-
plain, Mme Yolande St-Onge, M. Mar-
cel Lessard, Mme Ernest Létourneau,
Mme Françoise Titiryn, Mme ‘Léon
Brisson, M. Gcorges Montpetit, tous
de Legal, et Mme Sheila McGuines,
de Busby. À la vente italienne qui
monta jusqu'à $28.50, le jambon fut
gagné par M. Rodney St-Martin.
A quand la prochaine soirée; il fait
si bon travailler dans un même but
ct de s'amuser ensemble.
Henriette Deslauriers
RENOUVEAU LITURGIQUE:
Depuis quelque temps nous avons
eu l'occasion d'apprécier souvent la
célébration de la messe face au peu-
ple. Nous aimons beaucoup cette ma-
nière de célébrer la messe; nous nous
sentons plus participants au sacrifice
quand nous voyons ce qui se passe.
Tous nous goûtons la lecture dans la
langue vernaculaire de l’épitre ct du
‘saint Evangile. Les bons vieillards qui
ne peuvent suivre dans leur missel peu-
vent malgré tout recevoir le message
du Christ.
FETE AU VILLAGE:
Jeudi soir, le comité du Festival
d'été se rencontra pour préciser d'au-
tres points pour les fêtes à venir. On
a décidé d'offrir $500.00 en prix; il y
aura dix prix offerts pour les meilleurs
chars allégoriques: Vingt-cinq, vingt,
quinze, dix et six prix de cinq piastres
chacun. Avis à ceux qui sont intéres-
sés; il nest pas trop tôt pour com-
mencer à faire vos plans; il faut viser
à présenter de l’originalité. Pour ceux
qui ont oublié d'inscrire les dates des
fêtes je répète que ce sera les 25 et
26 juillet.
EXCURSION EN VILLE:
Les élèves de la 5e année de Pé-
cole de Legal ont eu le plaisir d’une
excursion à Edmonton le 19 mars. Le
but de ce voyage était de mieux nous
faire connaître quelques endroits im-
portants de la capitale de notre pro-
vince. Nous avons d’abord vu comment
Yeau était purifiée avant de se ren-
dre aux demeures, Nous
groupes environ de douze élèves cha-
cun; un guide habile et expérimenté
nous dirigeait et nous expliquait tout
ce qu'il y avait de très intéressant à
voir et à entendre. Nous avons quitté
cet édifice rassurés que l'eau qui en
sortait pour servir la ville d'Edmonton
était bien pure.
De là nous sommes allés au poste
de télévision CFRN pour le program-
me du midi, Avant de s’y rendre nous
avons joui d'une bonne collation prise
dans l'autobus puisque la température
ne nous permettait pas d’être en plein
air. |
Midi arrivé nous avons eu beaucoup
de plaisir À prendre part au program-
me “The Noon Show” c'est avec re-
gret que nous avons quitté le poste
pour nous rendre au Planetorium à
une heure.
Le Planetorium était très intéressant:
d’abord le soleil descendit à l’ouest et
c'était la nuit. On nous à fait voir
ce que les astronomes d'autrefois croy-
aient apercevoir, notre firmament,
Nous avons vu de plus près la surfa-
ce de la lune et ainsi que la silhouette
du soleil. Après une heure passée dans
les régions célestes nous avons vu le
lever du soleil, qui semblait si réel.
Pour résumer, nous sommes tous
d'accord que ce voyage fut très amu-
sant en même temps qu'instructif, Nous
voulons profiter de cette occasion pour
remercier spécialement notre princi-
pal, M. D. Keane, et tous ceux qui
ont rendu possible cette journée si en-
richissante,
Les élèves de la 5e année
Mme Jeanne Larivière, institutrice
BANFF:
M. le curé G.-H. Primeau a été ab-
sent de la paroisse pendant la fin de
semaine dernière, il s’est rendu à Banff
assister à des “workshops” des com-
missions récréatives de tous les villages
qui comme Legal possèdent un centre
récréatif et culturel, M. Frank. Rivard
s'est aussi rendu à Banff dans le même
but.
DAMES AUXILIAIRES
DE LA LEGION:
Les Dames Auxiliaires de Ja Légion
organisent une vente de pâtisseries pour
samedi le 28 mars. Cette vente aura
lieu à la Co-op de Legal, Elles vous
invitent à venir acheter votre gâteau
de Pâques; il y aura beaucoup de
choix, ‘Venez encourager ces dames.
CLUBS 4-H: |
. Vendredi soir avait lieu au ‘Centre
récréatif et culturel l'élimination des
candidats du club d’éloquence des deux
clubs 4-H de Legal. Ce sont classés
premiers: Simone Demers et Lucien
Préfontaine; %e: Mario ‘Cloutier et
Blair Cyr. Les trophées qui ont été of-
ferts aux gagnants ont été faits à Le-
gal par M. Georges Montpetit,
Les juges du club d’éloquence &-
taient MM. Mike Zienanski, Roméo
Boissonneault, Emile Parent, M: Wal.
ter Van de Walle était maître de céré-
monies, Félicitations aux gagnants des
trophées et à M. Georges Montpetit qui
a si bien réussi à les faire,
, LI *
bénévoles dans l’in-
étions trois
* CORRECTION:
— PICARDVILLE
Le 13 mars, nos élèves du grade 19,
qui vont en classe à Vimy, faisaient
un beau voyage à Edmonton, Ils étaient
* conduit par un monsieur de Clyde. Sous
Ja direction de guides, ils visitèrent l’é.
cole Technique. Ils revinrent -enchan.
tés de cette fructueuse visite, Sincères
remerciements aux organisateurs,
La soirée du 8 mars, organisée par
le CWL, au profit de l'orgue électrique
a'été bien réussie. Les heureux gagnants
furent: M. N. St-Louis, Mme A. $t
Louis, Mme Jean Frigon, Mme G. Vic.
taor et M. Maurice Victoor. Il y avait
de nombreux articles que les élèves de
l'école avaient faits et qui ont été ven.
dus.
Nos jeunes joueurs de hockey sont
encore victorieux: contre Barrhead 3 à
2, et contre Legal 4 à 2.
Mercredi dernier, nous étrènnions
notre orgue électrique. Sr Marie-Clui.
re nous fit entendre de belles pièces de
musique religieuse.
Au hockey, le club bantam à perdu
la partie contre Morinville, 5-1, Ja se
maine dernière. Ils ont été également
défaits à Westlock, 4-0.
M ÆEdouard St-Louis est enfin de :
retour chez lui, après avoir été hospi-
talisé.
Mme Breault, qui est hospitalisée,
sortira probablement ces jours-ci,
Les religieuses avaient Je plaisir de
recevoir leur provinciale, Sr Elizabeth,
dimanche dernier.
La partie de cartes du 22 mars, ot
ganisée par le CWEL, fut un succès
malgré la froide température. Les ga.
gnants furent: Mme A. Garan, M. P.
Cloutier, Mme L. French et M. Mau.
rice Victoor. Le prix d'entrée fut ga.
gné par Mlle - Pauline Provost, et Je
jambon, à la rafle italienne, par Wyatt
Glebe, Mme E. Glebe et Mme Ring-
stead étaient les organisatrices de cette
soirée.
HIGH PRAIRIE
Le 18, messe hebdomadaire à Ples-
sant View Lodge avec 15 communions.
Le 15, après le diner, le curé de là
paroisse nous quitte pour aller assister
aux funérailles, à Castor, de la mère
du principal de notre école séparée, M.
Flock; notre chapelain le remplace;
l'abbé Gould revint le mercredi soir.
Le 22, notre aumônier officie pour
la bénédiction des Rameaux et chante
la grand-messe.
Nous ont quittés pour retourner chez
eux: Mme Rolande Lessard, de Guy,
Karen Morrow, de High Prairie, David
Brassard, de Joussard, Armand Gagné,
de Guy.
Sont encore avec nous: André Ga-
gnon, de Jean-Côté, Fernand Fortier,
de Canyon Creek, Alex. Savageau, de
Falher,
Jean-Sé-Pu
mé
Le 3 avril aura lieu à Legal l'élimi-
nation finale de tous les gagnants du
club d’éloquence de tout le district,
Venez nombreux applaudir nos orateurs
en herbe. |
DE RETOUR:
Nous apprenons avec plaisir le re-
tour de Mme Lucien Bergevin de
Fhôpital, nous lui souhaitons un com-
plet rétablissement.
VISITE DE M. W. KASA:
Le 16 mars, au centre récréatif et
culturel les membres des clubs d'élo-
auence de Legal ont eu fheureuse oc-
casion d’avoir un orateur invité, M.
Walter Kasa, du département des ac-
tivités culturelles d’Edmonton.
Les dames étant les invitées n'ont
pas eu à faire de discours; les hommes
à tour de rôle furent appelés à parler
et furent critiqués et félicités. M. W.
Kasa était le critique et ses conseils si
pratiques furent très appréciés et tous
les membres du club désirent avoir
l'occasion de les mettre en pratique,
M. W. Kasa dit sa surprise de voir
dans un petit village comme Legal
tant de personnes intéressées au club
d'éloquence et ajouta que nous méri- |
tions des félicitations pour nos efforts
et ajouta délicatement que chaque :
orateur devrait être plus à l'aise et plus .
communicatif aves son auditoire. I ap- |
buya surtout sur l'importance de sur- .
veiller la prononciation, la diction, la
finale des mots et des phrases, etc, à
faut toujours en arriver à livrer un
message à son auditoire ajouta-t-il en
guise. de conclusion, Il ajouta cepen- :
dant, si vous avez une absence de mé- .:
moire, ne perdez pas contenance, 1€“!
gardez votre auditoire et faites-les de- :
viner ce que vous allez dire... pen“ À
dant que vous retournerez à votre su
jet.
Mme Rachel Caouette, présidente du .
club féminin remercia au nom de tou .
tes les dames d’avoir eu l'occasion d'as-
sister à cette si enrichissante réunion
et remercia M. Kasa de ses bons con
seils. :
M. Mike Zienanski, président du
club des hommes pour la soirée remer-
Cia aussi À son tour. Il y eut ensuite
une période de discussion puis les da :
mes servirent le ‘café.
Une erreur s’est glissée dans la der:
nière chronique, il fallait lire M. et È
Mme Pierre Monod au lieu de M. et à
Mme Pierre Moineau, t
armes
FERD NADON
BIJOUTIER
REPARATION DE MONTRES
ET BIJOUX
: en face de la “Bay” Ë
10115 - 102ème rue, Edmonton {:i
si
CN EPATI
e lberta.
et
- Mercredi le 25 mars 1964
Se Thomas d'Aquin
MES: . |
Bob Denis Cu, fils de M. et Mme
N mmand ‘ Casavant (née Angèle Sa-
ss Parrain et marraine: M. et
Win Canil Boissonneault, oncle et
nie de l'enfant.
ALADES:
re Annette Adam et Mme Guy
gourigey sont de retour à la maison a-
près avoir passé quelques jours à l'hô-
gital. mobiccement à M. Ernest
Prompt rétablissement à M. Emes
talisé depuis quelque
L'Heureux, hospi
temps: D
Nous vous demandons de prier pour .
Marie Durand, jeune fille de M. Roger
Durand, qui à été frappée par une auto-
mobile en revenant de Ja messe, di-
manche le 8:mars.
C'est à regret que nous apprenons
ha mort de Mer Emile Tessier, si bien
connu. J1 était bon, aimable, indulgent
Eenvers tous, €t SON dévouement ne
connaissait puint de borne. Que Dieu
Je protège et donne à son âme le repos
et la lumière éternelle.
Le comité du curling invite tous les
membres à se procurer des billets pour
Je banquet et Ja soirée qui auront
Élieu samedi le 11 avril.
Équipes gagnantes au curling, pour
À le deuxième partie des finales: section
4, Emest Daigle de Léger St-Pierre,
É Hector Goulet de René Chalifoux; sec-
tion B, Armand. Labossière de Arthur
À Demers, ct Antoine Magnan de Paul
Magna.
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DEJEUNER-COMMUNION:
Dimanche le 22 mars, les membres
et leurs dames ont participé au saint
Sacrifice de la messe offert pour le
repos de l'âme de John Fitzgerald Ken-
- nedy. La messe fut célébrée par le RP.
Jean Fortier, om.i., en l'église Saint-
Thomas d'Aquin à Edmonton-Sud.
Après la messe, le déjeuner fut servi
au Seven Seas. Nous avions l'honneur
d'avoir parmi nous Je professeur Ro-
ger Motut comme invité d’honneur. M.
Motut nous parla sur le bilinguisme et
le biculturalisme. M. Arthur de Roc-
quigny, Grand Chevalier, présenta l’ora-
teur, et M. Jrénéc Turcotte, ancien
Grand Chevalier, le remercia.
mn
avril aura lieu une soirée d'amateurs.
On y présentera du chant, piano et pa-
rade de mode. Les billets sont en ven-
te au presbytère ou chez M. Paul Le-
det, 9048-91 rue. Bienvenue à tous.
Samedi le 21 mars, à la soirée varié-
té, donnée par le St. Josaphat UCY, à
PUkrainian National Hall, les jeunes
de notre club remportèrent deux tro-
phées. Mile France Levasseur rempor-
ta le trophée pour la meilleure actrice,
et le quatuor obtenait le deuxième
trophée. Nos félicitations.
Aujourd'hui 22 mars, nous nous ré-
jouissons avec notre très dévoué curé,
© M. l'abbé. Hébert, à l'occasion de son
6e anniversaire de prétrise, Que Dieu
lé protège et lui donne encore d’abon-
dantes années avec nous.
À l’Académie
Assomption
Lundi le 16, grand Concours d’Ac-
tualités où participent toutes les élèves
de VEcole secondaire. Les professeurs
préparent cet examen à tour de rôle,
et nous écrivons cette fois celui de
Sr Claire-Adèle. Elle a su toucher tous
les points. Malheur à celles qui n’a-
vaient pas lu avec assez d'attention!
Les résultats de chaque classe sont
affichés dès mardi matin. Pour la troi-
sième fois, la 12e année obtient la
moyenne la plus haute. C’est normal,
direz-vous ..
Mardi soir, enfin, VICTOIRE! Nos
Acadettes, bien déterminées de finir
l'année dans la gloire, gagnent la joute
de ballon-panier contre les filles de
Beaumont. L'esprit ne manque pas, et
si le toit de l'école de Beaumont est
“encore bien solide, cela ne dépend pas
de nous. Pour certaines, célébrations
jusque tard dans la nuit. Vous compre-
nez!
Point cuiminant de la semaine, —
Projet de Féminité jeudi à 3h. Denise
Ouimet et Jacqueline Deubelbeïiss (X)
nous parlent de courtoisie à Fécole,
Claudette Merkosky et Diane Richard
(KIT) des sorties dans le grand publi-
que (Surveillez-vous, les gars!:), et en-
fin Joanne Pétrin et Michelle Diamond
(XI) d’une variété de choses et de si-
tuations. Les “conférencières” dialo-
guent devant nous et, après chaque
exposé, il y a discussion générale. Idées
qui reviennent? Sourire, gentiellesse,
propreté, simplicité, L'heure passe vite
et la discussion se prolonge pendant
que le groupe sc disperse. Merci à De-
nise Robert qui a organisé cette inté-
ressante session.
Vendredi matin, notre deuxième Cé-
lébration pénitentielle. Le R.P. Maurice
Joly, MM. les abbés C. Préfontaine ct
R. Sévigny président la cérémonie
d'ouverture. On nous lit le récit de Ma-
deleine, la pénitentc, et c'est ensuite
l'examen de conscience basé sur l'a-
mour. de Dieu et du prochain. “Le
Christ n’est pas surpris que nous pé-
chions — mais IL veut notre AMOUR”.
Pendant le chant de psaumes appro-
priés, celles qui le désirent se rendent
À l’un des trois confessionaux, Le but
de cette cérémonie est d’éveiller en
nous une vraie contrition. Et pour pré-
parer la semaine sainte... que pour-
rait-il y avoir de mieux?
Les dernières pages de l'Annuaire
63-64 partent pour l'imprimerie ces
jours-ci. Nous avons hâte que le volu-
me nous revienne. Il sera beau, car
Sr Ange-Marie et son équipe y ont
beaucoup travaillé.
Mardi le 24, l'Académie se vide. Dé-
jà le congé de Pâques’ Comme la fin
de l'annéeavance à grands.galops.
Marylène Morvan et Linda Drouin
nous représenteront à Red Deer, le
3 avril, — session d'étude sur jour-
naux scolaires.
On parle de la Fête des Finissantes.
Sans doute qu’elle sera belle encore
cette année. La chose nous intéresse
toutes — mais. plus encore celles qui
seront fêtées. Cela semblait si loin
‘ quand nous étions petites ...
Simone Patenaude, XII
LA SURVIVANCE
Page 5
ST-JOACHIM
Nous voulons souhaiter un Joyeux
jour de Pâques à tous nos lecteurs, spé-
cialement aux paroissiens de St-Joa-
chim, Que le Christ ressuscité vous ap-
porte la joie, la paix et la santé.
Je suis certaine que les auditeurs
qui se sont rendus à l'église St-Joa-
chim, dimanche soir, n’ont pas été dé-
gus. Félicitations aux membres de la
chorale, à son directeur, M. Maurice
Lorieau, à l’organiste, Mme Annette
Brissette, aux solistes: Mme Elise Dé.
ry, Mlle Aline Blain, MM. Maurice,
Paul Lorieau et Aimé Déry qui ont
interprété, d’une manière grandiose,
ce chef-d'oeuvre artistique des Sepi
Paroles du Christ, de Dubois. Le com-
mentateur était le Père J. Bidault.
Le Dr Turcotte, de Québec, est en
visite chez son frère et belle-soeur, M.
et Mme Irénée Turcotte,
Mlle Monique Bédard, fille de M. et
Mme Lucien Bédard, fait maintenant
partie de la compagnie Air-Canada
comme hôtesse, elle est stationnée à
Montréal. Nous lui souhaitons succès
et bonne chance dans sa nouvelle car-
rière.
Mile Maguerite Blais, qui suit un
cours d'art ménager à St-Boniface,
passe les vacances de Päques chez ses
parents, M. et Mme Adrien Blais.
M. Yvon Carle, fils de Mme Mar-
guerite Carle, était dernièrement de
passage à Edmonton. Il a accepté une
promotion comme inspecteur au bu-
reau de la Banque Royale à Calgary,
Félicitations.
Mme Gabriel Paradis et Mile Rose
Châtain sont actuellement à St-Boni-
face pour y passer le temps de Pâ-
ques.
C'est avec regret que nous appre-
nons le décès de Mgr E. Tessier sur-
venu à l'hôpital St-Joseph. Ses funé-
railles eurent lieu mardi à la cathédra-
le St-Joseph. II laisse dans le deuil
un frère Joseph et trois soeurs: Mme
Germaine Burger, Mme Graziella Tru-
del, d'Edmonton, et Mme Jeanne Ash,
de Montréal.
À la famille, nos vives condoléances.
Nos condoléances à Mme P. Mous-
seau et Mme H. Norman à l’occasion
du décès de leur père M. P. Leclair,
décédé à Edmonton la semaine der-
nière et dont le service funèbre fut
chanté lundi. La dépouille mortelle a
été transportée à Montréal pour les
obsèques. :
Malades: M. J. Latour à Yhôpital
de la Miséricorde, et M. J.-M. Hutton
à la Général. Nos voeux de prompt re-
couvrement.
SAINT-THOMAS
Club Montcalm
Oui, chers lecteurs! Enfin, nous vous
revenons avec des nouvelles de nos ac-
tivités. Ces dernières semaines, nous
sommes occupés à organiser notre “Soi-
rée d'amateurs” annuelle qui vous sera
présentée, dimanche le 5 avril, à VE-
cole Saint-Thomas. Cette soirée pro-
met d’être intéressante alors nous vou-
lons prendre cette occasion pour vous
inviter à y assister,
A notre dernière réunion générale, ‘
le 8 mars, nous avons eu le plaisir de
recevoir un groupe de la ville qui don-
ne des conférences au sujet du R.P. A-
braham, s.j., un prêtre canadien qui est
missionnaire aux Indes. Ce groupe nous
a exposé les problèmes que le Père
Abraham essaie de solutionner et nous
a présenté des vues et des rubans so-
nores que prépare lui-même, le Père
Abraham, et qu'il fait par la suite cir-
culer à travers notre pays pour faire
connaître sa mission.
Samedi le 2L mars, plusieurs mem-
bres du Club Montcalm assistaient à la
soirée de variété du “Ukranian Catho-
lic Youth Club” de la paroisse Saint-
Joachim, Le Club Montcalm y présen-
ta un sketch où figuraient France Le-
vasseur, Irène Henley, Hélène Savard
et Alice Dionne, et un quatuor compo-
sé de Maurice et Emile Mandin, Ri-
chard Bérubé et Paul Ledet, et ac-
compagné au piano par France Levas-
seur. Nos représentants remportèrent
un très beau succès, France Levasseur
reçut le trophée accordé à Factrice la
plus douée de là soirée, et le quatuor
gagna le trophée présenté au meilleur
groupe de chanteurs. Nos félicitations
À ces personnes, car cest une belle
chose que de recevoir deux trophées
dans une compétition ouverte à tous
les clubs de jeunes de la ville.
Dimanche le 22 mars, notre réunion
générale fut remplacée par le Bingo
aux jambons annuel de la paroisse St-
Thomas. ‘Il serait injuste de’ne pas
faire remarquer le beau travail et le
dévouement des hommes de Ja paroisse
qui ont organisé ce bingo. Ils méri-
tent les remerciements et les félicita-
tions de tous les paroïssiens,
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(suite de la page 1)
et dramatique entre les problèmes
qu'ont exposés M. Johnson cet M. de
Gaulle dans leurs discours presque si-
multanés.
Le gouvernement américain est as-
sailli par la presque faillite de l’Allian-
ce pour le progrès, malgré les sommes
énormes consacrées jusqu'ici à cette
association, par le continuel problème
de Cuba, par la dispute au sujet du
. canal de Panama. Les relations demeu-
rent tendues entre les Etats-Unis et
le Brésil, ainsi qu'avec le Pérou et V’Ar-
gentine, qui songent de plus en plus à
nationaliser les industries pétrolifères
américaines sur leur territoire.
DE GAULLE PUISSANT:
De Gaulle au contraire se présente
en Amérique latine avec une certaine
puissance du fait qu’il est libre de tels
handicaps.
Le président français semble en plus
porter avec lui la possibilité de créa-
tion d’unc troisième force mondiale en-
tre les Etats-Unis et la Russie.
Officiellement, le gouvernement a-
méricain juge que la visite du président
de Ja France au Mexique et les voya-
ses subséquents qu’il doit également
accomplir dans d’autres pays d'Améri-
que établira un espoir de relations plus
étroites entre l'Amérique latine et les
alliés des Etats-Unis en Europe. Le
gouvernement américain aurait à plu-
sieurs reprises invité les pays impor-
tants d'Europe à établir des liens plus
étroits avec les pays de l'Amérique cen-
trale, de Y'Amérique du Sud et des
Caraïbes.
NON PREVUES:
Mais des hauts fonctionnaires ad-
mettent privément que les circonstan-
ces spéciales qui entourent cette pre-
mière visite de de Gaulle au Mexique
étaient pas prévues dans le program-
me politique américain.
Ces dernières années, le chef. fran-
çais a agi à l'encontre de la politique
américaine à tant d'occasions qu’il est
devenu habituel à Washington de cons-
tamment s'inquiéter de ce que fera in-
cessamment le président français.
Notre ancienne principale, qui est
maintenant provinciale des Filles de
Jésus, Sr Marie-Elizabeth, était de pas-
sage parmi nous.
Dimanche eut lieu la dernière par-
tie de cartes du carême, malgré le
froid il y avait bonne assistance.
M. et Mme Etienne Caouette ont
acheté la maison de M. Louis Sabourin,
au village, ils doivent déménager pro-
chainement,
M. Robert Fortier a commencé son
travail de laboratoire à Edmonton.
Dimanche, M. et Mme Richard Sa-
bourin, Mme Corine Sabourin, Mme
Kramps ont fait un voyage à Leduc.
La radio et
les Chanéens
Ottawa. — Les postes de télévision
de Radio-Canada dans tout le pays se
sont transformés en classes pour une
équipe de 22 producteurs et techni-
ciens du Canada qui pourront, grâce
à ce qu'ils y auront appris, mettre en
marche, l'automne prochain, Ja télé-
vision dans leur pays. À Vancouver et
à Edmonton, tout comme à Winnipeg,
‘ Toronto, Ottawa et Montréal, ces A-
fricains acquièrent de l'expérience dans
le domaine de la télévision, depuis la
programmation jusqu’à l'établissement
de relais microondes. Ces cours du-
rent un an au maximum ct entrent dans
le cadre de la participation canadienne
au programme d’aide technique au
Commonwealth.
Coût de l'assurance-
. santé en Saskatchewan
Regina. — L'assurance santé en Sas-
Katchewan a coûté au cours de l’année
1963, moins que prévu.
La commission qui administre le plan
d'assurance santé obligatoire a déposé
son premier rapport, et constate ce fait.
Le rapport souligne que le gouverne-
ment a payé $19,500,000 pour les frais
de médecins de 886,400 personnes, soit
_ environ 95 pour cent de la population.
(suite de la page 1)
vèle un esprit nouveau dans les rap-
ports entre les deux pays qui promet-
tent de s’échanger des octrois éduca-
tionnels et de coopérer plus étroite-
ment dans les domaines commercial,
culturel et technique. Le président de
Gaulle remporta une grande victoire
diplomatique lorsqu'il prononça un
grand discours en espagnol à 300 mil-
le personnes, du balcon de la résiden:-
ce présidentielle, donnant sur la pla-
ce de Ja Constitution à Mexico. De re-
tour à Paris, après une visite de huit
jours au Mexique et dans les Antilles
françaises, des milieux en relations é-
troites avec M. de Gaulle, décrivent ce
voyage comme étant un grand triom-
phe politique.
*+ # +
Indes. — Des violentes émeutes
entre les deux communautés antago-
nistes hindous et musulmanes dans le
Nord-Est du pays font des centaines
de morts, et des centaines de blessés.
Le gouvernement de Ia Nouvelle-Del-
hi a recours à la troupe pour rétablir
l'ordre, et ces émeutes suscitent Ja
crainte d’une guerre en règle entre
l'Inde, où les hindous dominent et le
Pakistan où les musulmans forment
la majorité.
++ + 3+
Genève. — La conférence des Na-
tions-Unies sur le commerce ct le dé-
veloppement s'ouvre à Genève par un
pressant appel du secrétaire-général,
M. Thant, priant les pays plus fortunés
d'aider les nations en voie de dévelop-.
pement. Le ministre des affaires ex-
téricures du Canada, M. Paul Martin,
fait le point de notre pays, déclarant
qu’il s'oppose à la création d’une orga-
nisation commerciale mondiale. Il an-
nonce que l’aide du Canada à létran-
ger augmentera de 50 pour cent et
qu'il passera à $180,000,000 cette an-
née,
+ * C3
Dallas. — L'avocat Melvin Belli,
renonce à défendre les intérêts du com-
damné à mort Jack Ruby, à la deman-
de de Ja famille de l'accusé qui mani-
festa son mécontentement du système
de défense adopté par Belli.
# # #
Washington. — M. Picrre Salinger
démissionne soudainement comme se-
crétaire à l'information de la Maison
Blanche et briguera le poste de séna-
teur de Californie. Cette démission
provoque dans Ja capitale fédérale a-
méricaine une vague de spéculations
touchant aux relations entre le prési-
dent Johnson et le procureur général
M. Robert Kennedy et à l'avenir de
l’ancienne équipe de conseillers du pré-
sident Kennedy. Le successeur de M.
Salinger comme secrétaire de presse
du président des Etats-Unies est M.
George Recdy, qui depuis de nom-
breuses aunées était collaborateur de
M. Johnson.
Promesse
Ottawa. — Les ventes de blé du
Canada à la Russie continueront vrai-
semblablement dans les années à ve-
nir, C'est l'ambassadeur soviétique au
Canada, M. Ivan F. Shpedko, qui la
déclaré à Winnipeg. Le volume de ces
ventes n'atteindra peut-être pas le
demi-milliard de dollars de l'an der-
nier mais il sera suffisamment consis-
tant pour prouver la sincérité soviéti-
que dans son désir d'accroître ses é-
changes commerciaux avec le Canada.
Il espère que ces échanges ne forme-
ront pus ‘un sens unique”.
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M. Jrénée Turcotte, prés.
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M. Paul Doucet, dir. des programmes — GE 3-1370
BIENVENUE A TOUS !
Les biens des Juifs
disparus
Berne. — L'enquête ouverte par le
gouvernement suisse sur les biens lais-
sés en Suisse par des étrangers ou a-
patrides -— principalement des Juifs
victimes du national-socialisme avant
et pendant la dernière guerre — a per-
mis de chiffrer le montant de ces biens,
non réclamés depuis 1945, à près de
$2,200,000. Compte tenu de certains
cas douteux, le recensement effectué
auprès des banques et autres organis-
mes fiduciaires, évalue en effet le mon-
tant des biens constitués par des comp-
tes bancaires et postaux, comptes d’é-
pargnes et de dépôts, prestations das
surances échues, papiers-valeurs et au-
tres métaux précieux, objets de valeur
et bijoux, à $2,201,611. Ces biens ap-
partenaient à 961 propriétaires, étran-
gers ou apatrides, dont on est sans
nouvelle et qui ont probablement dis-
paru dans les camps de la mort.
Exode de compagnies
québécoises?
Pembrouoke. — Le gérant intérimaire
de l'Association de développement de
l’est ontarien a déclaré que des négo-
ciations sont en cours pour aider un
certain nombre de compagnies situées
dans le Québec à s'installer dans l'est
de l'Ontario.
M. William Urquhart à dit au conseil
municipal de la localité qu'un nombre
“assez considérable” de compagnies a-
vaient exprimé le désir de quitter le
Québec pour s'établir en Ontario, Il
a cependant refusé de nommer les so-
ciètés en question ct il n'a pas dit non
plus pour quelles raisons ces déména-
gements étaient envisagés,
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présentée par
L'Alberta Wheat Pool
au Journal agricole à 12h.45 p.m.
La semaine à
Radio Sacré-Coeur
(du 30 mars au 3 avril 1964)
LUNDI: Roger Brien, acad., “Reste avec nous, ’Seigneur”
MARDI: Henri-M. Guindon, s.m,m.. “L'origine du monde”
MERCREDI: Soc.cath. de la Bible, “La Résurrection: un double sommet”
Cing générations: (dans l’ordre d'ancienneté) Mme Harmel Potvin, d'Edmonton, Mme Odile Vust de
LE Le
ER Ë
Onoway, Mme Edna Renaud, de Onoway, Mme Pauline Arnold, d'Edmonton, et bébé Scoat Arnold.
l’Antenne
de
COMMISSION
LAURENDEAU-DUNTON:
Reportages spéciaux
À compter du 30 mars, le réseau ra-
diophonique de Radio-Canada diffuse-
ra un reportage spécial sur les séances
HORAIRE DU
VENDREDI SAINT:
6.50—-Bonjour
6.55—Nouvelles
7.00-—-Musique sacrée
S.00—-Nouvelles
Cia
Les rabbins européens
Benny ct les choeurs de Bras
dessus, bras dessous sous la di-
rection de Roland Séguin.
11.00—La Faim des autres — La sous-
alimentation dans le monde,
Animateur: Jean-Paul Lefebvre.
11.350—L'Exposition universelle du Ca-
nada — Invités: André Knic-
9112-135 ave, tél. 474-1758
M. Maurice Lavallée …
14002-134 rue, tél. HU 83516.
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14 au 16 avril
protestent wasser, directeur de lExposi- Mme Eloi Pétrin
tion, Edouard Fiset, architecte
Rome, — Le comité permanent de in che et: Eomand Séuin 10233-114 rue, tél, HU 68-399
la conférence des rabbins curopéens,
qui vient de siéger pendant trois jours
à Rome, a remis à l'ambassadeur de
VURSS un aide-mémoire protestant
contre l’injuste discrimination dont se-
rait l’objet la religion juive en Union
soviétique.
Dans son aide-mémoire, le comité af-
firme que, sur les 450 synagogues qui
existaient en URSS en 1954, il n’en sub-
siste que 96, les autres étant fermées.
L'unique séminaire rabbinique de
DIMANCHE 29 MARS a.m.:
9.30-—Cocur aux poings — “La Let-
tre”, Un écrivain publique se
paie la tête d’un escroc.
10.00—Les Belles Histoires des pays
d'en haut Téléroman de
Claude-Henri Grignon. Bijou et
Nanet ont leur nouvelle maison. Julie
a un accident.
10.30—La Poule aux oeufs d'or —
Quiz animé par Roger Baulu.
11.00—Tète d'affiche — Du restau-
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publiques de la Commission royale 8.05—Sports URSS a pratiquement cessé de fonc- rant chez Jacques Labrecque, M. et Mme L. Fournier Les
EUDI: Abbé G Chalif G. Ch d'enquête sur le bilinguisme ct le bi- 8.10—Méditation du vendredi saint tionner, les autorités ne lui permet avec Doris Lussier. Animateur: 13416-109A rue, tél, 477-233
; ; On Four Ge. Chen, culturalisme 8.28—Nouvelles tant de recevoir que quatre élèves, Jacques Normand. M. et Mme M. Lehodey sn
“L'engagement chrétien des jeunes”
VENDREDI: Jean Galot, S.J., “M'aimes-tu?”
CHFA — 680 — 4h.45 à 5h. pm.
NN
%%° Nos Programmes “
8.30—Musique d'orgue
8.55—Avec Simone
9.00—Nouvelles
9.01—Festival
10.00—Radio-journal
10.02--Musique sacrée
10.30—Partage du jour
11.00—Radio-journal
11.10—Musique sacrée
11.35—Eclairez-moi s.v.p.
12.00 —Angelus
12.02-—Musique en dinant
° 12.15—Nouvelles
12.25-—Sports
Ces émissions, réalisées par le Servi-
ce des nouvelles de Radio-Canada, con-
sisteront en interviews et, à l’occasion,
en commentaires de la part des mem-
bres de la Commission. Celle-ci siége-
ra dans plus d'une vingtaine de villes
du Canada, de Terre-Neuve à la Co-
Jombic-Britannique.
François Morrisset, reporter spécia-
liste du Service des nouvelles, a été
affecté à ces reportages et tentera, a-
vec laide de ses invités, de taire le
point, chaque semaine, sur l’évolution
En Union soviétique, ajoute l’aide-
mémaire, les Juifs ne sont pas autori-
sés à organiser collectivement leurs
cérémonies religieuses, ne peuvent se
procurer ni articles rituels ni livres de
prières, et ne sont pas autorisés à en-
tretenir des contacts avec les organisa-
tions religicuses juives étrangères.
Campaane en faveur
Ei Condor ...
(suite de la page 7)
propriétaire de ce théâtre, Remigio
Paone, président de YAssociation des
Impresarios d'Italie.
Les Juttes idéologiques au sein de
l'université, la corruption en haut lieu,
un scandale mis à jour par une com-
mission d'enquête font d“El Condor”
une oeuvre pleine de réalisme, qui ré-
vèle aussi une jeunesse assoifée d’es-
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Caracas. — M. John Loudon, dei
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ré que la Shell n'avait pas entamé 4
négociations avec le gouvernement «ik
bain en vue d'obtenir des indemilk
pour la confiscation des biens de l
LUNDI AU 8.30—(selon le jour) 9.02—Ballade musicale des séances et sur les mémoires sou- ]2,30—Qu’en pensez-vous de R. Kennedy pérance. ds . ï ts h “" ;
VENDREDI 10.00—Prog. ukrainien | 9.30—Prog. norvégien mis par divers organismes, SlOUPE- 12.45-—Journal agricole Nine Vale CUS Sonite dé ut La première nordraméricaine cut 1. ne Cuba . as été envi
6.50—Ouverture 10.30—(selon le jour) 10.30—Ballade musicale ments et personnes, d’un océan à l'au- 12,58 Nouvelles à la candidature de M. Robert Kennce- Hee Fe 8 ACISbEe Halte ont M pra ex se Ja position 4 |
6.55—-Nouvelles 11.00—Manchettes 11.00--Messe dominicale tre. 1.00—Sept Paroles du Christ y à la vice-présidence des Etats-Unis * Québec ct fut suivie de 13 représen- L ° Shell : D ER is
7.00—Chez Miville 11.02—Abat-j 2.15 reporté SOCLaUt cc £. 9,00—Nouvelles CE Presence CES BEST Stations dans cette ville et à Lévis. a Shell au Dr Raul Leoni, qui a pie
2 .02 jour 12.15—Nouvelles Ces reportages spéciaux seront pré 2.00—Nouvelles a été créé, à New York. Les responsa- Sstllenent Res toctioe de
. ; pas € se n . n . ù is: 2.02—Requi Gas; Fes DS n Fi : _ Ses S
se . es : Em ri à FRE SR » : SORIES AUX se suivantes RE . Ru de Cherubini bles de ce nouveau comité, qui tien- UNE REVOLUTION DANS LA dent du Venezuela. Le président
8.00--Nouvelles ss Fac 1245 Musique en dinant _ ne M et onte, Fees vendredi saint nent à garder Vanonymat jusqu'à ce TECHNIQUE THEATRALE tancourt, prédécesseur de M. Leon
: SAMEDI SE He et 22 juin. : : ue leur organisation ait été enregistré Par son sytème de doublage simul- vait indiqué » V'enezuc rép
8.05—Sports 6.55_Bonjour L.00—Prog. italien , 5.00— Nouvelles a g { £ y e doublage simul- vait indiqué que le Venezuela puni
8.10—Prière du matin
2.00-—Prog. hollandais
8.15—Radio-Réveille
3.00—Prog. polonais
7.00—Nouvelles
7.02—Musique en tête
5.02—Chants grégoriens
5.30— Nouvelles
Le chapelet
par Je secrétaire d'Etat à New York, à
Albany, ont tenu à souligner qu'ils a.
tané, “El Condor” apporte quelque
chose de nouveau à la technique thé-
cesser de faire le commerce avec 1
pays ayant des relations commerdiss
issaient sans le consentement ou l'au- âtrale, “la plus grande révolution de- avec Cuba. O it savoir que M. La
8.30—Manchett = 5.39—_Ch: Écori FSU: ne M E F c- avec Cuba. On croit savoir que M. Lu
832_Radio-Réveille EN . ie ee. a : î Fu _ da torisation du procureur général. M. puis l'invention de la scène tournante”, don a donné au nouveau présidentlii
9.00—Nouvelles 7.35—Musique en tête 530$ 2 Me à CHFA M Le Robert Kennedy est intervenu plusieurs selon !y Tempo, de Rome. Une troupe surance que li Shell ne concluen ll
9.05-—Avec Sion 8.00—Nouvelles on ie se 6. 05 _S fois déjà pour tenter de décourager les de professionnels parisiens à enregistré eun accord en vue de la vente, à CSS
é < ‘ 8.05—-Sports -JU—Radio-Journ 05—Sports responsables du parti démocrate qui sur bande magnétique le dialogue » pétrole -énézuélie ‘5
9.10—Intermède 8. 10—Prière du matin 6.30—Cabaret du soir MARS 1964 B.10—Intermède Encticg pu de pétrole brut vénézuélien.
9.15—Vie de Femmes
9.30—Partage du jour
10.00-—Nouvelles
8.00—Informations
8.30--Cabaret du soir
10.00—Prog. ukrainien
8.15—Musique en tête
8.30—Nouvelles
8.32--Musique en tête
6.15-—Chapelet
6.30—Passion selon S. Mathieu
8.00—30" d'inf.
97. Les familles T. Rémillard et J.
Henley, de Girouxville
voudraient le pousser à se présenter à
la vice-présidence des Etats-Unis aux
côtés de Lyndon B. Johnson. Avant les
français qui est diffusé par haut-par-
leurs dans la salle, tandis que les ac-
teurs parlent dans leur langue, es-
acteurs eux-mêmes.”
La “Tribune de Genève”, le À
| f Le na: , élections primaires du New Hampshire, pagnol et portugais. | 14e
10.02—Vos souhaits à 10.30-—Musique de danse 28. Les employés de Fhôpital Gé- 8.30—Passion selon S, Mathieu a. à de = A de Me » grand quotidien de Suisse fran
9.00—Tante Lucille E éral, d'Edmonton au où il a obtenu près de 15,000 voix, M. Le “Québec Chronicle Telegraph” © ; 1:
10.30-—Troubadours 3 : [11.00—Sous l’abat-jour nets 10.00—Programme ukrainien - it Fait savoir ail n'était écrit: “Loc à Re écrit: “Cette nouvelle méthode dilg
: 9.30—Un beau samedi . familles He - L L Kennedy avait fait savoir qu'il n'était écrit: “Les gestes et la synchronisation
11.00-—Radio-Journal 12.00——Nouvelles 30. Les familles Joseph et Donat Le 10.30—Le bel âge : 2 : < tation d’ ièce en Jangue ét
11.10-—_Sports 10.00—Nouvelles à. ; rss mire, de Faïher. 1.00 N Îles pas candidat et que ce serait au candi- sont excellents et coïncident de façon ‘4197 ŒuRe piéce en anne
° p ; 10.02-—Vos Sauhaits 12.05—Fin des émissions 31. Les Fe llards du Foyer Youvil il. NN ges dat à là présidence de choisir son “co- si parfaite avec le dialogue que le spec- °MYTTA PORCELAINE VIE
11.15—Jeunesse Dorée cts : Vas; h0s VICINATOS QUE OVER LOU 11.02—Sons l’abat-jour nn Soda 0 e ë aux échanges théâtraux. {l faut 41028
1130 Manchettes 10.30—Aven. de Tintin LUNDI: le de St-Albert. 11.53 Nouvelles équipier” au moment de la convention tateur oublie rapidement que les ré Ÿ® FR M Gros mes de
1181 11.00— Nouvelles 7.00—Ensemble vocal DDR UN ERES nationale démocrate, pliques ne sont pas données par les ‘ut Cette démonstration était 51
1— Visages de l'Amour 11.10—Un beau samedi
11.45-—Musique en dînant 1115-—Vers demain
12.00—Angelus
12.02--Musique en dinant
12.15—Nourelles
12.95—Sports
12,30--Musique en dinant
12.45—Journal agricole
7.80—Ârts et Lettres
8.30-—Toutes les scènes
10.30—Le bel âge
11.30-Un beau samedi
12.00—Angelus MARDI
12.02—Musique en dinant +002 Une chanson
12.10—- Nouv. agricoles = :
12.23 Sports 1.30—Canada-français
12.30— Avotre
santé
L.00— Fémina 2 ve 9.00—Concerts
. 12.40—Variétés a 2
1.15—Psychologie 1.30--Nc 10.50—Le bel âge
1.29-_—Manchettes 50 Nouvelles =
= - 1.32—Variétés MERCREDI
1.30——Plein soleil
2.00—Nouvelles
2.09—Sieste musicale
7.00—Petit concert
7.30 — Américain
8.30— Concert
3.00-—Nouvelles
3.02—Variétés
3.30—-Variétés
70 Nouvelles 4.00-—Prog. Italien 10.30—Le bel âge
3.05—Divertissement 4.30-Proc : :
3.55—Sports De Une JEUBI:
5.00—Langue b. pendue
5.30—Variétés
6.00—Reportage
7.00-—Variétés du Qué.
7.30—Place publique
8.30-—Symphonies
G.30—Chapelet 9.15—Trio vocal
6.45—Hockey 9.30—Récital d'orgue
8.30—Samedi avec Paul |10.30—Le bel Âge
10.00--Prog. ukrainien
4,00—Radio-Journal
445—Insp. Tanguay
4.30—Boîte aux surprises
445—Radio S.-Coeur
5.00—-Nouvelles
5.02—Musique et trafic
6.00-—Nouvelles | VENDREDI
CE 10.30—-
6.10—(selon ‘le jour) 11 ar rl Faul 7.00—Chorale
6.15—Plus belles voix : | 7.30— Chasse
6.45 Chapelet 12.05—Fin des émissions
7.00—{selon le jour)
7.30—{selon le jour) 8.55—-Bonjour 9.30-—Prog. hollandais
8.00—Information 9.00-—Nouvelles 10.30-—Le bel âge
Se
TE
RE
Comité du Chapelet,
Poste CHFA,
10012 -109e rue,
Edmonton, Alberta.
8.30—Histoire à 4 voix
DIMANCHE 9.00—-Sérénade
8.30—Hier et aujourd'hui
EEE ELLE | 12.05—Recucillement.
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1er juin, los lundis, mardis, mercredis, jeudis
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Rouges sont de retour!
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calendrier Rouge, Blanc et Bleu du CN. coach, les jours Rouges:
CELLES ES LECELELEEECEEE ECC ECECCEECCECREECOEONRERREEE PENSER EEE
entotenssssvessese
h Mercredi le 25 mars 1964
Misites
__ La Commission du cen-
oncé l'octroi d’une somme
à doux organisations qui
Brent des visites interprovinciales,
Ée interprovinciales recevront
-# 000 et le Conseil canadien des chré-
ns ct juifs 85,000 afin de permettre
| n plus grand nombre de leurs pro-
| s de voyager en dehors de Jeur pro-
| ee respective. Cet octroi est le pre-
D d'un programme de $100,000 grà-
viron 8,000 jeunes Cana-
R Oitawa.
Boire a ann
LL auquel en
Aiens visiteront les
e autres organisations. recevront
autres provinces.
Duinz ,
D ntôt des bourses qui leur permet-
nt d'organiser des visites dans Îles
n
: tres provinces cette anmec.
À L'AUDITORIUM DE L'ECOLE SUPERIEURE
VICTORIA COMPOSITE
coin de la Kingsway et de la 101e Rue, Edmonton
A la suite d'une tournée triomphale dans 24 villes et
municipalités de la Province de Québec, la Force interna-
tionale de Réarmement moral à laquelle se sont joints
un groupe dynamique d'étudiants canadien- français
el condor
présente
URSS SS RS
ke voir.”
(Jean Béraud, “La Presse”
SR LR RNA RERERARSENEE RUES een Sets SÉRUM RARES LRSRERESÉELSLLLSÉERESÉLÉERLAEI SEE M
Sous
EN ALBERTA
[A NOUVELLE
de changement de la vieille à la nouvelle bouteille
J" lieu en Alberta vers le 23 mars 1964. Ceci culminera
he longue recherche par Findustrie des brasseries dans
D UUt d'obtenir une meilleure bouteille de bière.
à résultat est une bouteille compacte — retournable,
Viron trois pouces plus courte que la vieille bouteille.
. us lévère, un peu plus grosse et contenant
Môme volume de 12 onces.
t remboursable
“IT fait bon entendre la jeunesse s'exprimer
avec cette violence et cette franchise; il
fait bon voir qu'elle croit en l’art dramatique
pour faire connaître et répandre ses idées.
À ce titre, “El Condor” est un très bon
spectacle et il faut inviter le publie à aller
peu
te cette nouvelle boutcille, les buites seront plus
tes, plus propres ct plus faciles à porter.
à nouvelle bouteille compacte
THE CARLING BREWERIES (ALBERTA) LTD. —
4,
Politique de
“s .
gaspillage‘’
Basthourne, == M. Ceorge Brown.
chef adjoint du parti travailliste britan-
nique, à accusé Je premier ministre sir
Alee Douglas-Homc. d’avoir “substitué
à la défense britannique une danse
machiavélique autour d'une symboli.
que bombe atomique”, 11 a ajouté que
les conservateurs avaient gaspillé F'ar-
gent des contribuables avec une facili-
té jamais égalée au cours de leurs 12
amies de gouvernement, “Et l'aviation
manque d'avions, la marine de bateaux
ail poursuivi, Notre flotte de lt Méc
diterranée ne compte plus qu’une poi-
gnée de frégales et de dragueurs de
mines et nos soldats sont envoyés
à
l'étranger mal équipés”.
en français
Ecrit par des étudiants universitaires
de l'Amérique latine
forts.
re
réveil.
(Lorenzo Paré, “L’Action”, Québec)
LUNDI, LE 30 MARS, à 8h.15 P.M.
Billets: Réservés, 53.00
sièges non-réservés, $2.00: étudiants, $1.00
Ë Billets en vente au comptoir des Allied Arts,
4 situé au rez-de-chaussé de la Compagnie Hudson’s Bay, Tél: 422-2454
ainsi qu’à la porte.
“ALBERTA BREWERS’ AGENTS LIMITED
REPRESENTING:
LABATT'S ALBERTA BREWERY LIMITED
LT Z
“Le dynamisme du théâtre et la passion
des acteurs rendent à des vérités bien vicil-
les, presque oubliées, un éclat déconcertant
à force d’être neuf! Pour beaucoup, “El
Condor” peut ranimer Je feu qui couve sous
la cendre de nos routines et de nos con-
Pour beaucoup de nos catholiques
qui se sont assoupis, cette tempête du bien
qui s'élève pourrait être le moment du
_ GARY BREWING & MALTING co. LTD,
— SICKS' LETHBRIDGE BREWERY LTD.
BOHEMIAN MAID BREW
Repas complet
en cinq minutes
Don Mills, Ont, — M, EL. Norton
Wyse, directeur de li publicité de la
Salada Foods, à annoncé qu’une cam-
pagne de publicité serait lancée le 14
mars prochain, pour inviter les ména-
xères canadiennes à préparer un repas
comprenant de la viande, des pommes
de terre et dus légumes en cinq minu-
tes. Cette campagne de publicité, qui
offrira trois bons d'achat, aura pour
thème “Nous avons préparé ce déli-
cieux repas en 5 minutes, pouvez-vous
faire de même?”
‘Trois importantes compagnies de pro-
duits alimentaires participerent au lu
campagne.
Conirlbuting to
ING CO. LTD. Alberta's Economy
LA SURVIVANCE
Pour notée prochain Cong rès
La Caisse populaire: une école d'esprit
de travail et d'économie
Causerie prononcée par M. Laurent Hébert
à l'émission ‘’Notre pays et les nôtres”
La caisse populaire est une associa-
tion cuopérative d'épargne et de cré-
dit, Elle n'est pas une simple accumu-
lation de capitaux mais une réunion de
personnes qui éprouvent tous les même
besoins économiques ct qui
s’entr’aider.
Elle exerce ses activités dans les
limites d’une paroisse ou d'un groupe.
Lorsqu'une Caisse populaire est fon-
dée, les fondateurs doivent clairement
déterminer les cardes territoriaux où
elle opérera: une paroisse, un groupe
d'employés d’une même usine ou com-
pagnie ou un corps professionel.
Les conditions d'admission peuvent
être remplies par tous. Il suffit d’être
“Honnète, bon payeur, sobre et bon
“El Condor”
en français à
Edmonton
D'octobre 1963 à février 1964, une
troupe de gens représentant 17 natio-
nalités à sur invitations parcouru Ja
province de Québec et joué devant plus
de 45,000 auditeurs dans 24 de ses
villes “El Condor”, pièce écrite et
interprétée par des étudiants, des tra-
ailleurs et des industriels du Pérou,
de la Bolivie et du Brésil.
Pendant ces quatre mois, 19 hôpi-
taux, 31 couvents, 11 collèges et sémi-
naires, ainsi que des centaines de foyers
ent offert des logements et 7.400 repas
aux membres de cette troupe. Le trans-
port de J'équipement théâtral fut pres
que partout pris en charge gratuite-
ment par des compagnies de trans-
port, Ces gestes ont grandement con-
tribué à rendre possible Je
d''EI Condor” a Québec,
Ont pris part à celte action des di-
rigeants de syndicats du Québec, des
mineurs, des travailleurs d'usines, des
débardeurs, des patrons, des politi-
ciens, ete, Plus de 125,000 GCtudiants
de 200 écoles, collèges et universités
ont accueilli les membres de la troupe.
Les éditorialistes des grands journaux
ont commenté la pièce avec enthou-
siasme.
veulent
périple
“ET Condor” sera joué en français,
Jundi, le 30 mars prochain, à Sh.15 p.m.
à l’auditorium du Victoria Composite
High School. Elle sera répétée en an-
glais le lendemain et le surlendemain.
mardi et mercredi, au même endroit.
Les billets d'entrée seront en vente
à Ja porte même, au coût de $3.00,
$2.00 et $1.00 pour les étudiants.
Créée en mai 1962, la pièce “El
Condor” est l'oeuvre d’un groupe d'é-
tudiants de la plus agitée des univer-
sités d'Amérique latine, celle de San
Marcos, à Lima. “Pour la première
fois, l'Amérique latine à osé dire tout
haut ce qu'elle pensait tout bas”, dit
l'un des acteurs, le général Hugo Beth-
lem, ancien ambassadeur du Brésil.
Le condor est, pour les peuples des
Andes, le symbole de l'indépendance
et de Ja liberté. C’est le philosophe cet
auteur ‘dramatique français Gabriel
Marcel qui entendant parler de la pièce
des étudiants péruviens, en suggéra le
titre.
“El Conder” à tout d'abord été pré-
senté au Brésil où son succès fut tel
que dix stations de télévision Je firent
connaître d’un bout à l'autre du pays.
Peu après la pièce à été filmée dans
les studios du centre de conférences
internationales du Réarmement moral
situé sur l'ile de Mackinac, dans le
Michigan. Cette pièce sud-américaine
revient maintenant d’une tournée de
treize mois en Italie et en Suisse fran-
cuise, À Naples, “El Condor” ouvrit
la saison d'hiver 1962-65 au Théâtre
Mercadante, Après des représentations
en Calabre et en Sicile, elle fut donnée
à Venise, puis au Teatro Nuovo de
Milan. ‘Je tiens à vous remercier
d’avoir choisi mon théâtre pour vos
représentations si originales et si né-
cessaires”; télégraphia à la troupe Île
{suite à la page 6)
The Big Fisherman
COTE MORALE:
ADULTES et ADOLESCENTS
Américain, 1959, 190 min, panavi-
sion, technicolor. Drame pseudo-reli-
gieux réalisé par Frank Borzage avec
Howard Keel, Suzan Kohner et John
Saxon.
Ayant juré de tuer son père, la fille
d'Hérode Antipas se fait engager sous
un faux nom au palais royal où elle
élabore ses plans meurtriers. Une ren-
contre avec Jean-Baptiste, l'influence
de Simon-Pierre et le sermon sur Ja
montagne la feront réfléchir et elle de-
viendra une disciple du Christ.
Le film de Borzage ne correspond
pas du tout au titre qu’il lui a don-
né, L’intrigue est centrée sur une prin-
cesse, qui veut se venger et non sur
nt
Ctuéma et culture
travailleur” Hommes, femmes et en-
fants peuvent en faire partie.
BUTS
Elle a deux buts principaux:
1) enscigner à ses membres l'écono-
mie et la prévoyance par la coopéra-
tion;
2) leur aider par des prèts et avances
faciles à rembourser,
Ainsi elle assure la pratique des
vertus chrétiennes et sociales, elle en-
seigne le respect des engagements pris
et elle contribue à répandre parmi
ses membres la connaissance pratique
des principes élémentaires de Ja sei-
encu économique.
PARTS SOCIALES
Les parts constituent le capital de
la caisse. Elles sont de $5.00 chacune.
Elles sont payables par versements ou
elles peuvent être acquittées en une
seule fois si on le préfère. Tout soci-
étaire peut, quand bon lui semble, re-
tirer toutes ou une partie de ses parts.
Aux assemblées, chaque sociétaire n'a
droit qu'a un vote, quel que soit le
uombre de parts qu'il posséde. Ainsi
les gros ne mangent pas les petits et ils
ne jouissent pas d’une influence pré-
pondérante, Un sociétaire ne peut avoir
un nombre de parts supérieur à celui
fixé de temps à autre par l'assemblée
générale, car l'expérience prouve que
si un sociétaire pouvait prendre n'im-
porte quel nombre de parts, il pour-
rait exercer une influence périlleuse
sur Jes opérations de fa caisse en me-
naçant de retirer son capital.
EPARGNE
Les sociétaires peuvent aussi dépo-
ser leurs épargnes qui raippotent un
taux d'intérêt raisonnable. Ces épargnes
sont toujours retirables, Notons que la
société ne fait des opérations qu'avec
ses membres seulement,
FRETS ET INTERETS
Les petits prèts ont tojours la pré-
férence sur les gros; par exemple, si
cing sociétaires demandent à emprun-
ter, l'un $800 et les autres $200 chacun
on prètera de préférence aux quatres
derniers, s'ils présentent mêmes
garanties,
les
Pour faciliter le remboursement des
prèts, le mode des versements périodi-
ques est de règle. En voici deux exem-
ple:
a) supposons qu'un sociétaire em-
prunte $100 pour trois mois. Il recevra
toute la somme sans que l'intérêt soit
enlevé. S'il peut remettre toute Ja
somme, au bout d’un mois, lintérèt
d'un mois seulement lui sera chargé.
b) Un autre emprunt $100 pour dix
mois, remboursable $S10 par mois. Au
bout du premier mois, il paiera l’inté-
rèt sur $100, après le second mois sur
$90 et ainsi de suite. Pour le dernier
mois, il ne paiera l'intérêt que sur $10.
La caisse populaire n'exige donc
l'intérèt que pour le temps où on se sert
de l'argent emprunté et on obtient une
dimunition d’intérèt en payant Ia som-
me par versements.
Le taux d'intérèt, est en réalité très
avantageux, On sait que dans certaines
institutions l'intérêt est payé d'avance
ou encore pour Îles remises anticipées:
parfois même une commission st
chargée pour consentir le prèt. Dans
certains cas, on charge un minimum
d'intérêt et des frais d'avis,
La populaire est formelle
ment interdite à toute spéculation de
bourse ou opération de risque.
SOLIDITE
La caisse populaire puise sa grande
solidité dans la ccllule paroissiale ou
de groupe. Comme coopérative, elle
appatient à ses membres et elle est
administrée par eux, à leur profit. En
plus, chaque caisse doit se créer un
fonds de réserve alimenté de la taxe
d'entrée et d'un pourcentage fixe des
bénéfifices nets annuels. Elle se crée
un fonds de prévoyance et un compte
de surplus à mème les bénéfices non
repirtis ou divisés, pour la protection
des sociétaires en cças de perte. Ces
divers fonds constituent lavoir propre
de la société Ce patrimoine n’est jamais
divisé entre les sociétaires. Seules Îles
pertes extraordinaires peuvent Paffecter
caisse
Films à l'écran
la personne de saint Pierre. L'histoire
s'apparente à un immense mélo peu
convaincant et peu intéressant. Le
nouveau procédé technique en 65mm.
permet une grande netteté de la photo-
graphie, Les millions dépensés pour
les décors somptueux et les costumes
rutilants ne parviennent pas à masquer
ke vide de l’ensemble.
Appréciation morale: Ce film ne
comporte pas de message spirituel mè-
me si l’on montre l'emprise du Christ
sur les âmes et la conversion de Fhé-
roïîne, l'ensemble est faux et superfi-
ciel, Adultes et adolescents.
. + + +$
Diamond Head
COTE MORALE:
ADULTES AVEC RESERVES.
et il continue d'augmenter jusqu'à des
proportions de sécurité absolue.
ADMINISTRATION
Trois conseils ou commissions, for-
més de sociétaires distincts, son choisis
chaque année par l'assemblée générale,
Ils dirigent les opérations de la caisse,
Ce sont:
a) un conseil d'administration
b) une commission de crédit
c) unc commission de surveil-
Jance.
Le conseil d'administration ou bu-
reau de directeurs possède des pouvoirs
généraux, en plus de diriger les affaires
de Ja société, il pose les actes néces-
saires et prend toutes Jes dispositions
qu'il juge opportunes à Ja bonne
marche de la société, qui ne sont pas
de la compétence de l'assemblée gé-
nérale où d'un autre conseil on com-
mission.
La commission de crédit à le con-
trôle absolu des prèts aux sociétaires.
Les demandes de prèts lui sont tou-
jours soumises par Je gérant, Elle fixe
les conditions des prèts et exige des gu-
rantivs. ‘Tous Îles membres présents
doivent Ctre unanimes pour que le prêt
soit accordé, Elle voit à la rentrée des
créances et à l'accomplissement fidèle
des engagements pris par les emprun-
tours.
Le consvil de surveillance est chargé
de surveiller toutes les opérations de
Ja socicté. C'est l'assemblée générale
siégant permanence à coté des
officiers. Il veille à ce qu'ils accom-
plissent leur devoir, Il peut en tout
temps examiner ct vérifier les livres
de compte du gérant, les fonds de la
société et se rendre compte de leur
utilisation dans l'intérêt de la caisse
populaire.
ELLES REPONDENT A UN BESOIN
On demandera peut-être: pourquoi
fonder des cuisses populaires? Pare
en
qu’elles répondent à un besoin, elles
sont nécessaires, Les changements sou-
dains de la vie économique moderne.
nous invitent à l'économie et à l'épargne
comme mesure de prudence et de sla-
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Page 7
bilité. Les capitaux ainso formés ser-
vent ensuite aux besoins des sociétaires
par des prêts moralisateurs, educatifs
ut productifs,
LEUR SUCCES
Il existe des caisses populaires dans
notre province depuis 1938 et au Cana-
da depuis 1900. C’est un canadien-fran-
çais, Alphonse Desjardins, qui est le
fondateur du mouvement des caisses
populaires au Canada et même aux
Etats-Unis, puisqu'il adressait la pa-
role à l'assemblée de fondation de la
caisse populaire Ste Marie, en la ville
de Manchester au New Hamshire en
J'année 1908.
Au mois de décemmbre 1963, les
Caisses Populaires de la province de
l'Alberta avaient un actif total de
$48,304,341. ct groupaient 102,000
membres, Elles avaient consenti des
prèts aux membres pour la somme de
$206,452.175 depuis le début du mou-
vement en cette province.
Chaque caisse est absolument indé-
pendante de sa voisine, comme un con-
seil municipal Pest à l'égard de celui
de Ja municipalité voisine, Elle n'ont
rien coûté en argent ni de la part des
sociétaires ni de la part des institutions
publiques. Elles ont coûté le dévoue-
ment et labnégation des officiers et
des administrateurs.
Elles coûtent quelque chose à Ja
Province parce que nos législateurs exi-
gent une grande surveillance. Une loi
provinciale régit des caisses populaires
et par ce fait les inspecteurs du pou-
versement font une vérification annuel-
le des livres de comptes et voient à ce
que les caisses suivent les règlements
imposés par la Joi.
En terminant rappellons que Ja cais-
se populaire entraîne à la pratique de
l'économie et de l'épargne et que c'est
au sein de la caisse populaire que l'on
puisera at conviction que le travail,
l'esprit d'économie et d'épargne sont
premiers IMOVens permettent
l'acquisition de Et propriété.
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Page à
Ottawa est prêt à remettre $2,500,000
à chaque province pour le centenaire
Ottawa, — Le gouvernement fédé-
ral est maintenant prèt à signer avec les
provinces les ententes qui accordent à
chacune d'elles une somme de $2,500,-
600.
C'est ce que nous a déclaré M. Mau-
rice Lamontagne, secrétaire d'Etat, à
la sortie d’une réunion du comité fé-
déral-provincial sur le centenaire, C't-
tait Ja 6e réunion de ee comité, et elle
a eu Jieu dans l'édifice central du Par-
Jement à Ottawa.
Cette rencontre groupait, outre M.
Lamontagne et M. J. R. Nicholson, mi-
nistre des Postes, des représentants
des dix provinces canadiennes ainsi que
du Yukon et des Territoires du nord-
oucst, La Commission du centenaire &-
ait représentée par ses deux commis-
saires, MM. John Fisher et Robert
Choquettc.
Cette réunion avait été convoquée
afin que Jes délégués étudient particu-
ièrement les projets que les provinces
se proposent d'entreprendre grâce aux
subventions de $2,500,000 par pro-
vince accordées par Je gouvernement
fédéral pour a construction d'immeu-
bles commémoratifs du centenaire. Les
membres du comité devaient aussi pren-
dre connaissance de l'état des travaux
duus Ja construction de l'édifice com-
imémoratif des Pères de la Confédéra-
tion à Charlottetown et du projet de la
construction d'une Place des arts à
Québec, deux entreprises qui hénéfi-
cient de subventions du fédéral.
La rencontre à té des plus cordiales,
a déclaré M. Lamontagne après Ja réu-
uion, ct nous avons fait un autre pas
La semaine
Au Canada
Toronto, -- Une législation, qui ac-
corderait des pouvoirs sans précédent
à Ja police de l'Ontario, fut présentée
à lAssembléc législative de cette pro-
vince, et suscita immédiatement de vi-
ves critiques d’un bout. à autre du
Canada. La Commission de police a-
vait précédemment déposé un rap-
port devant Ja Législature concernant
la mise à l'étude du crime organisé en
Ontario. La Commission demanda des
pouvoirs accrus pour traiter Ja silua-
tion, après quoi fut déposée la législa-
tion, par Je gouvernement du premier
ministre Robarts, proposant d'accorder
à la police le pouvoir de détenir se-
crètement, sans bénéfice d’avacat con-
seil, pour des périodes indéfinies tant
que les détenus refusent de témoigner.
C'est le procureur général, M. Frede-
rick Cass, qui proposa cette loi, qui
fut accueillie par des clameurs publi-
ques. M. Robarts propose ensuite de
la retirer de l'ordre du jour de l'As-
scmblée législative, et de laisser aux
soins du comité légal de la législature,
mais les partis de l'opposition. attaquent
la proposition du premier ministre ct
demandent de la retirer complète-
ment.
Li #* #
Ottawa. — Harold Banks est destitué
de ses fonctions de directeur canadien
du Syndicat international des Gens de
Mer par la Commission des Syndicats
des Marins. De son côté le président
américain du Syndicat international des
Gens de Mer, M. Paul Hall, arrive au
Canada, et affirme que la destitution
de Banks pourra causer des ennuis aux
navires canadiens qui s’arrêteront dans
lés ports américains des Grands Lacs.
Pendant ce temps, le ministre fédéral
du Travail, Fhon. M. MacEachen. af.
firme que le gouvernement Jibéral ne
bronchera pas devant les menaces. Le
Conseil de tutelle des syndicats mariti-
mes canadiens place à la tête du puis-
sant syndicat international des Marins
du Canada, M. Charles Turner, qui
travaille depuis deux mois pour Je
compte des trois commissaires de tu-
ivlle.
+ + +
Ottawa. — Le projet impatiemment
attendu de caisse de retraite est dépo-
sé aux Communes et l'accueuil des
conservateurs est remarquablement fa-
vorable. Ils affirment qu'ils appuicront
le projet sans conditions ni réserves,
Un comité mixte du Sénat et des Com-
munes le modifiera ct le projet sera
unsuite renvoyé à li Chambre qui lui
fera subir la troisième lecture, Le gou-
vernement souhaite que le program-
mé entrera en vigueur lan prochain
et les cotisation commencent en janvier
1965. Ces cotisations seront obliga-
toires pour Ja grande majorité des
employés et facultatives pour les per-
sonnes travaillant à leur compte. Les
cotisations seront déduites à la source,
comme pour l'impôt fédéral.
# La *
Ottawa. — Le gouvernement mino-
ritaire libéral franchit un autre obsta-
cle Jorsqu'une motion de blâme du
Nouveau parti démocratique est dé-
faite par un vote de 180 voix contre
20 à la Chambre des communes. La
motion de censure reprachait au gou-
vernement Pearson de ne pas avoir ré-
duit le budget de défense en vue de
récupérer des fonds pour le dévelop-
pement économique du Canada et Pai.
de aux pays en voic de développement.
Huit créditistes ont appuyé les néa-
démocrates, tandis que sept autres
créditistes et 70 conservateurs ont ap-
puyé les- libéraux. Les conservateurs
viennent à l’assaut le lendemain et
déposent une mation attaquant le gou-
vernioment libéral pour ses dépenses
accrues ét Je déficit financier tel que
décrits dans le nouveau budget pour
l'année fiscale 1964-65.
impurtant vers le succès des célébra
tions de 1967.
De toutes les provinces, seule lOn-
tuio n'a pas encore fait connaitre son
intention quant à l'utilisation de la
subvention spéciale de deux millions ct
demi du gouvernement fédéral. Cette
province était représentée À cette as-
semblée par M. F. M. Cass, procureur
général et M. W. M. Melntyre, sceré-
taire du cabinet.
Quant aux deux provinces de Qué-
bec ct. File du Prince-Edouard, elles
sont exclues de ce plan vu qu’elles ont
déjà bénéficié de subventions pour la
construction des édifices déjà mention-
nées, à Québec ct à Charlottetown.
Souliguons que chacune de ces deux
subventions dépassera de $300,000 cel-
les que recevront les autres provinces.
Ainsi, le coût total de chacun de ces
édifices atteindra $5,600,444, dont $2,-
800,000 viendra du fédéral.
Toutes les provinces représentées
ont accepté le principe de cette sub-
vention de $2,500,000 et plusieurs ont
déja fait connaître leur intention, Ainsi,
Ja Colombie-Britinnique construira un
coutre des arts, de même que le Ma-
nitoba et Terre-Neuve, La Nouvelle-
Écosse a l'intention de construire un
centre médical et le Nouveau-Bruns-
wick, un édifice qui servira à Tadmi-
nistration provinciale et dont la sub-
vention fédérale ne défragers qu'un
peu moins de la moitié du coût total,
OTTAWA:
La ville d'Ottawa, à cause de son
statut de capitale nationale, sera dans
une position privilégiée visävis des
autres villes canadiennes. Elle bénéfi-
cicra d’abord de la Place des arts, dont
le coût scra entièrement défrayé par
le fédéral et elle vivra l'apogée de plu-
sieurs manifestations à caractère na-
tional.
Le comité fédéral-pravincial du Cen-
tenaire a fixé les objectifs généraux
du programme du Centenaire, formulé
les buts envisagés, approuvé les condi-
tions régissant les subventions fédéra-
les et accepté, en principe, divers pro-
jets concernant les célébrations de l’an-
née centenaire,
Ce comité a mis en ocuvre, plus par-
ticulièrement, le programme des sub-
ventions pour la réalisation de projets
locaux ct régionaux et, le programme
des subventions de $2,500,000 par pro-
vince pour Ja construction d'immeubles
commémoratifs.
Ce dernier programme d'aide addi-
tionnelle disait M. Maurice Lamonta-
gne, est la dernière sortie de fonds que
fait le gwonvernement fédéral, Nous
continuerons certes à nous y intéresser
de très près pur la promotion de pro-
jets qui ne demanderont pas de mise
de fonds directe et en accordant tou-
te notre collaboration aux organismes
privés ainsi qu'aux gouvernements pro-
vinciaux et municipaux qui nous le de-
manderont,
Mer Tessier .
wuite de la page 1)
tivement mêlé à tous les mouvements,
il était alors un des citoyens les plus
en vuc d'Edmonton. Acteur et metteur
en scène consommé, sa troupe rempor-
{ait partout de francs succès. Les an-
ciens n'ont jamais oublié ses interpré-
iations du rôle de Périchon dans “Le
voyage de Monsieur Périchon”.
C'est en 1916 qu'il put enfin réali-
ser son rêve de devenir prêtre. Après
avoir étudié les sciences sacrées privé-
ment pendant deux ans, tout en conti-
nuant son travail aux écoles séparées,
il entrait au Séminaire St-Joscph en
191$ pour être ordonné prêtre par le
regretté Mgr Grouurd, le 25 mars 1920:
il était âgé de 38 ans.
Les autorités ceclésiastiques lui assi-
gnérent Ja paroisse de Lafond où il
exXcrça son ministère pendant 10 ans.
En 1920, on le trouvé euré de St-
Edmond de Calder et c'est en 1934
que Mgr O'Leary le nommait curé de
Legal. En 1947, il était appelé à rem-
placer Mgr Maxime Pilon, p.d., com-
me curé de Morinville, poste qu’il oc-
cupa jusqu'en 1956. En 1950, à la
demande de SE, Mgr J. H. MacDonald,
l'Eglise reconnut ses mérites en le
nommant prélat domestique. Retiré à
Edmonton, Mgr Tessier continua à ren-
dre service à ses confrères dans le mi-
nistére tant que ses forces physiques le
lui permirent, Sentant sa vitalité dimi-
nier sensiblement, il décida de se reti-
rer à l’hôpital St-Joseph où la mort
est venue à sa rencontre.
Durant les 38 années de sa vic acti-
ve, Mgr Tessier mit au service de Dieu,
de l'Eglise ct des âmes tous ses ta-
lents naturels, qui étaient nombreux,
ainsi qu'une grande foi surnaturelle et
un zèle apostolique qui Je fit se dépen-
ser au plus grand bien de tous. L'en-
fance et Ja jeunesse furent cependant
la partie choisie de son troupeau.
Un frère ct trois soeurs survivent à
Mer Tessier: Joseph, d'Edmonton, Mme
Germaine Burger et Mme Graziclla Tru-
delle, toutes deux d'Edmonton, et Mme
Jeanne Ash, de Montréal, Il était l'on-
cle du RP, Pierre Burger, franciscain,
de Vancouver,
Lundi soir dernier, ses confrères dans
le sacerdoce se réunirent autour de sa
dépouille funèbre pour réciter l'Office
des Morts en Ja cathédrale St-Joseph,
et mardi, le service funèbre fut célébré
également à la cathédrale St-Joseph.
“La Survivance” présente ses sincè.
res condoléances aux membres de sa
famille ainsi qu'aux antorités ceclésias-
tiques,
LA SURVIVANCE
Un budget pour les beatles . ..
PT ESENENNERRUREES
MIREAAEMTTEUR
BALLOT
BOXES ‘
Hockey
(suite de la page 1)
deux buts mais ils ne s'avouaient pas
vaincus, car d’une façon ou d’une aut-
res, à la fin de la troisième période,
aidés de leur entraineur, Paul Denis,
ils avaient égalisé les points en gagnant
por un pointage de 5 à 3. T1 leur fallut
donc deux périodes supplémentaires
pour décrocher la victoire décisive.
Le 15 mars, au Edmonton Gardens,
nos Midgets et nos Bantams couron-
naient la saison de hockey en rem-
portant à leur tour Île “Customhouse
Midget Trophy” ct le “K of C Council
1184 Bantan Trophy” présentés an-
nuellement aux champions Midgets et
Bantams de la ville (Kof C) En gagnant
par 4 à 2, contre Saint-Andrew”’s les
Midgets, entraînés par Adrien Bouchard
recevaient ce trophée pour la troisième
année consécutive, De l’autre coté, nos
Bantams pilotés par Je R. Frère Omer
Lafrance, OMI, infligeaient une défaite
humiliante de 7 à 0 à léquipe de
Saint-Patrick’s. Ainsi pour la première
fois dans la vie du Collège, nos Ban-
&ums méritaient un tel honneur.
En résumé, félicitations aux entrai-
neurs, aux équipes cllesmèmes et sur-
tout au R. P. Paul-Antoine Hudon,
OMI, préfêt des jeux au Gollège, qui
Sest donné inlassablement à Yorgani-
sation de nos sports et surlout à cului
du hockey. Donc au Père Hudon,
“three checrs” d'appréciation.
Adrien Bouchard.
OYEZ! OYE
Mesdames et Messie]
18 avril
Quinzième Cabane à sucre. or M
sée par le cercle Edmonton de Y'Acpli
au Pavillon des ventes. «ur Je te L
de l'Exposition. |
Un ‘’Mosquito”’,
au Musée de l'air
Toronto. — L'un des trois der. MR
“Mosquito” du Canada sera proc: M
nement expédié au Muséc aéronayi
que de l'Alberta
Les bimoteurs de ce type, co
en bois, se couvrirent de gloire ni
le Second conflit mondial, alors qu
servirent aussi bien de chasseurs 0
de bombardiers ou d'avions de T8 |
naissance à hautc altitude. 1] sen co.
truisit 8,000 dans les années ‘40, dd
plus de 1,100 aux avionneries Av
de Malton, en Ontario.
Les deux autres “Mosquito” cl
diens servent encore à des vols de
levé cartographique, sous les couler
de la compagnie Spartan Air Serie]
Cette compagnie a été fondée par vi
ancien pilote de “Mosquito”, M, Ji
Roberts.
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45 MODÈLES DE VOITURES
chez le concessionnaire Chevrolet: un vrai “salon” de l’automobile
On pourrait poursuivre cette énumération à l'infini si la place
ne faisait pas défaut, en mentionnant tous les moteurs Chevrolet,
depuis le 4-cyl. 153 de 90 CV (le plus économique!) monté dans
la Chevy Il, jusqu’au V8 409 de 425 CV (le plus fougueux!),
monté moyennant supplément dans la grande Chevrolet. On
pourrait faire les plus grands éloges du choix de transmissions
accouplées à ces moteurs, qui donnent aux Chev-
rolet la plus grande vivacité! On pourrait s’exta-
sier sur le choix tellement étendu de couleurs de
carrosseries et de garnitures intérieures, qui
donne aux dames le même plaisir de choisir et
LES CHAMPIONNES DE LA ROUTE
des organes mécaniques importants co
traction et des accessoires de luxe comm
FM. Mais il vaut mieux
démonstration au conces
vous montrerra la voitu
sions et du prix désirés,
e la nouvelle radio AM-
laisser le soin de cette
Sionnaire Chevrolet qui
re du modèle, des dimen-
et vous prouvera combien
ce prix est modéré pour une voiture de cette qualité.
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